Avec cet article, Polémia commence la publication d’une série d'extraits du livre Ecoracialisme,
non encore paru aujourd’hui. Son auteur, Frédéric Malaval contributeur
régulier de Polémia, veut montrer que des évolutions irrépressibles vont
obliger les différentes races humaines à vivre dans leurs écosystèmes
d’origine.
L'introduction de ce livre dévoile l'argumentaire de cette vision iconoclaste.
Polémia
L'introduction de ce livre dévoile l'argumentaire de cette vision iconoclaste.
Polémia
Introduction
Ce
livre a comme thème central l'écoracialisme. C'est le terme choisi pour
désigner la politique consistant à favoriser la cohérence
race/écosystème. Sa conclusion est que l'écoracialisme est le préalable à
une politique écologique soucieuse de limiter à son strict nécessaire
l'artificialisation des écosystèmes.
En
effet, habiter durablement dans un écosystème étranger n’est possible
qu’au prix d’une surartificialisation à l’origine d’impacts
environnementaux importants, donc de la crise écologique actuelle. La
climatisation de l’habitat par les Européens dans les zones équatoriales
est un exemple parmi d’autres d’une surartificialisation écologiquement
néfaste.
La
thèse exposée dans ces lignes prend résolument le contre-pied de la
doxa dominante. Celle-ci envisage un monde unifié alors qu'une approche
écologique postule que cela n'est pas possible. La diversité est la clé
du succès adaptatif et donc de la pérennité des lignées constitutives de
la biosphère. Cet axiome est le fondement de l'Ecologie, science de
synthèse, dont les développements sont déterminants pour relever les
défis actuels. C'est le fil conducteur de ce livre construit en trois
parties.
Dans
la première, un balayage général du monde d'aujourd'hui aboutit à la
conclusion que la Modernité, envisagée comme l’idéologie dominante, est
réalisée par une bourgeoisie mondialisée sous tutelle américaine. Son
mérite incontestable est que nous vivons un Age d'or. Mais des menaces
obèrent l'avenir. La crise écologique en est une. L’artificialisation de
la planète en est à l’origine. Limiter la surartificialisation de
l’écosphère est dès lors impératif.
La
deuxième partie résume les apports de l'Ecologie, discipline
scientifique intégrative que la Sociobiologie et la Thermodynamique
alimentent. Deux idées-clés vont alors participer à la vision du futur :
le conservatisme des gènes, l'efficience énergétique.
La
troisième partie envisage l’Ecoracialisme comme une des issues pour
surmonter les défis à venir. Une des conséquences de l’artificialisation
de l’écosphère est que les pressions écologiques vont susciter un
retour des différentes races humaines dispersées sur la Terre dans des
écosystèmes où ils sont biologiquement adaptés. Pour nous Européens, ce
sont donc des dizaines de millions d’individus qu’il faut se préparer à
accueillir alors que dans le même temps partiront au plus les 20 à 30
millions (?) d’éco-immigrés de l’Europe. Il s'agit donc désormais
d'envisager le futur à partir des phénomènes majeurs de ces dernières
décennies.
Parler
des mouvements de populations humaines dans l'écosphère est un sujet
éminemment transgressif. Dans une approche écosystémique, il est
impossible d'éluder la question raciale. Or, celle-ci est taboue depuis
la deuxième moitié du XXe siècle ap.JC. Aussi quelques précautions
sont-elles nécessaires pour l'aborder.
Il
n'y a pas de jugement de valeur ni de hiérarchie en Ecologie. Une
manifestation du vivant, quelle qu'elle soit, n'est que la résultante
d'un processus adaptatif confronté à des contraintes irrépressibles. Or,
cette idée de hiérarchie est omniprésente dans toutes les idéologies de
la Modernité : (…), le Romain sur le Germain, le Chrétien sur le Païen,
le Noble sur le Roturier, (…), le Bourgeois sur le Prolétaire ou le
Prolétaire sur le Bourgeois, l'Européen sur l’Africain, (…), etc.
L'approche de la Nature procède du même esprit en distinguant les
espèces utiles des espèces nuisibles, les plantes comestibles des
mauvaises herbes, etc. L'approche écologique postule la
consubstantialité de toutes les composantes d'un écosystème, même si ces
entités sont en concurrence, voire en rapports de prédation. Il n'y a
pas d'idée de supériorité en Ecologie, seulement des structures de
complexité diverses, associées à des espaces écologiques dont
l'intégration à d'autres couplages espèce/espace aboutit à un
écosystème. Envisager la question raciale sous l'éclairage de l'Ecologie
impose par conséquent de distinguer le racialisme du racisme.
Le
racialiste admet l'existence des races humaines comme la conséquence
d'un processus adaptatif. Le raciste va postuler une supériorité de
l'une vis-à-vis des autres. Cela étant dit, aborder la question raciale
au sein du genre humain ne devrait pas soulever plus de difficulté que
de traiter des spécificités des différents types d'ours ou de macaques,
par exemple.
Il
est vrai que les sensibilités épidermiques sur ce sujet obligent
parfois à privilégier le terme « ethnie » au détriment de celui de «
race ». On parle alors d’ethnodifférentialisme. Pour qualifier
l’approche écologique qui structure ce texte, il aurait fallu parler de…
éco-ethno-différentialisme. Un peu lourd, peut-être ? Si l’on trouve un
joli mot qui ne choque personne, on fera un « Rechercher/Remplacer par
», puis « Remplacer tout » pour changer le mot « race » de ce texte.
Promis. Cela ne changera rien au contenu.
L’idée
qui anime ce livre est simple. Les pressions écologiques vont amener
les différentes races humaines ou ethnies – comme on voudra – à vivre
dans les écosystèmes adaptés à leur nature, ceci pour limiter
l’artificialisation de l’écosphère. Admettre que cette adéquation est
une nécessité écosystémique sera alors perçu comme un facteur de paix
entre humains dès lors que l’on admettra que s’installer en dehors de
son écosystème d’origine est écologiquement néfaste. A contre-pied de la
doxa d’aujourd’hui, accepter la race comme une réalité biologique,
conséquence d’un processus adaptatif, favorisera une paix durable entre
humains dans une artisphère à son « climax ».
Pourquoi et comment cela va-t-il arriver ? Envisageons les réponses sans tabou.
Frédéric Malaval http://www.polemia.comEcoracialisme - Introduction (1)
29/11/2012
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