DAMAS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation ) -
Le gouvernement syrien a annoncé hier avoir adressé un courrier au
conseil de sécurité de l’ONU pour dénoncer l’usage d’armes chimiques
près d’Alep par les rebelles terroristes. Selon les autorités syriennes,
cette attaque aurait tué une quinzaine de personnes. La Syrie a accusé
le Qatar et la Turquie d’être indirectement responsables de ce massacre
en armant et encourageant les rebelles islamistes.
Par ailleurs, la prétendue opposition en exil, réunie à Istanbul,
s’est choisi un nouveau chef, l’homme d’affaires syrien Ghassan Hitto,
résidant aux Etats‑Unis. Ce soi‑disant chef du gouvernement de
transition n’est pas parvenu à rassembler derrière lui toute
l’opposition. En dépit du soutien massif du Qatar, de la Turquie et de
l’Arabie séoudienne, et celui à peine plus discret des Etats‑Unis, de la
France et du Royaume Uni, ce pseudo‑gouvernement ne contrôle aucun
territoire en Syrie, même les quelques régions abandonnées par l’armée
gouvernementale qui se retrouvent livrées à l’anarchie.
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