Auteur de « Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas »,
Gérald Pichon revient longuement dans son ouvrage sur les viols
racistes dont sont victimes les femmes européennes. Car « trop blanches »
pour être entendues et « trop seules » pour être défendues, elles sont
des proies faciles pour les bandes ethniques.
Quand on traite ce genre de sujet, il faut éviter de tomber dans le
fantasme et voir des motivations racistes à l’encontre des «Gauloises »,
chaque fois qu’un de ces actes ignobles se produit. Majoritairement,
les viols se déroulent en effet dans un cadre familial ou entres membre
d’une même communauté. Mais on ne peut pas nier que certains violeurs
s’en prennent aux femmes blanches avec des motivations clairement
racistes, notamment lors des fameuses « tournantes », mot de la
novlangue médiatique pour cacher le véritable terme de viol collectif.
Le tabou des babtous
D’ailleurs, les viols racistes en Europe pourraient être définis
comme le tabou dans le tabou de la haine antiblanche. Il est en effet
impossible d’avoir des chiffres officiels, aucun homme politique et
aucun média en France n’a évoqué ce sujet. Et pourtant… En se basant sur
la face émergée des faits divers dont les journaux se font écho, on
peut estimer à plusieurs milliers le nombre de femmes européennes
violées chaque année à cause de la blancheur de leur peau.
Trop blanches
Depuis le début des années 1990, on assiste à une explosion du nombre
de viols, notamment des viols collectifs, aggravés souvent « d’actes de
barbarie : séquestration, coups, brûlures », comme pour humilier encore
plus les victimes. Mais aucune statistique ethnique des violées n’est
venue infirmer ou confirmer la déclaration de Julien Dray, fondateur de
Sos Racisme et porte-parole du PS, sur le fait que les « incendies de
voitures, rackets, viols. Les violences prennent de préférence pour
cibles les “Babtous“, c’est-à-dire les Blancs. » (livre : Etat de
violence).
Par contre, l’origine communautaire des violeurs est connue grâce à une étude du docteur Patrice Huerre. Selon «
un échantillon de 52 expertises psychiatriques portant exclusivement
sur des auteurs de viols, agressions et attentats à la pudeur commis en
réunion », les auteurs étaient à « 52% originaires des pays du Maghreb, 20% d’Afrique noire, le restant des sujets étant issu de familles d’origine française ».
Trop seules
Car ce que les Français de souche et les Européens ont oublié, c’est
que le bien le plus précieux d’un peuple ce sont ses femmes. Et comme
leur communauté est incapable de les défendre, bon nombre de « Gauloises
» sont la proie des prédateurs. Comme Laëtitia, habitante de la cité
des Minguettes à Vénissieux, qui déclara dans un reportage du journal de
20h de TF1 avoir peur d’être « victime d’une tournante », car elle
s’estimait « être une proie facile » en tant que « Française », avant d’ajouter « qu’elle aurait aimé être une Maghrébine et avoir un grand frère » pour « avoir du respect ».
Et ce cas n’est pas isolé, car les filles que leur clan et leur
communauté ne protègent pas sont réellement en danger. Corinne, blonde
aux yeux clairs, interrogée par le quotidien Le Figaro, fait la même réflexion : se convertir à l’islam « pour avoir la paix ». Car, comme le note la journaliste « les Gauloises » sont « considérées comme des filles faciles », et « subissent un véritable racisme ».
Il viole 15 femmes pour « humilier les Blancs »
Le magazine Envoyé Spécial avait suivi il y a quelques
années le procès de victimes d’un violeur en série. Dans ce reportage,
on apprenait 2 choses : la première, que le violeur, un jeune Africain,
avait violé 15 jeunes filles blanches et blondes à cause de la couleur
de leur peau et la deuxième, on l’entendait lors du procès
déclarer textuellement qu’il agissait pour « humilier les Blancs ».
Ces faits n’ont jamais été reconnus comme des actes racistes par la
justice et comptabilisés comme tels par les rapports de la Commission
nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH).
Citons encore le drame de Delphine, violée à 13 ans par une trentaine de racailles [vidéo à voir jusqu'à la fin !] :
Source : le webzine féminin Belle et rebelle.
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