vendredi 17 mai 2013

La guerre ethnique qui vient, par Yann Vallerie

La guerre ethnique qui vient
Les scènes d’émeutes en marge de la célébration du titre de champion de France de football par le PSG, viennent à nouveau de rappeler, à ceux qui refusent de le voir, que la guerre ethnique a débuté en France. 
Cela fait plusieurs années que des militants, des écrivains, des politiques, le disent, mais les dirigeants et leurs valets journalistiques jouent éternellement la politique de l’autruche. Par peur de l’amalgame, véritable crime contre l’humanité à en croire les tenants de la pensée unique, ils refusent de s’attaquer aux réelles causes de ces problèmes.
Quel rapport y a-t-il en effet entre les hooligans du psg et les scènes d’émeute vécues hier ? Aucun. Il n’y avait en effet hier soir aucune bande de jeunes blancs « casseurs d’extrême droite » comme aiment à les appeler les journalistes. Le PSG Qatar version 2013, en mode répression et dénonciation à la sauce SOS racisme, c’est surtout un PSG des cités, contrôlé par les princes arabes.
On a les supporteurs que l’on mérite : des bandes de cités, composées à majorité de jeunes Africains et Arabes, ont à nouveau déferlé sur la capitale parisienne, avides de pillages, d’agressions, de destruction. Ces mêmes bandes qui avaient enflammé la France lors des émeutes de 2005. Ces mêmes bandes qui attaquaient les manifestations lycéennes contre le CPE il y a encore quelques années.
Faudra-t-il attendre que leur nombre s’accroisse, proportionnellement à la démographie galopante de certains départements français à majorité immigrée ? 
Faudra-t-il attendre de nouveaux lynchages, de nouvelles agressions à l’encontre de touristes, mais aussi à l’encontre des Français de souche, systématiquement visés par ces bandes ethniques ?
Certaines photos et vidéos prises hier montrent une police dépassée, apeurée même (il suffit de voir certains visages pour le comprendre) face à ces évènements.
Une police qui semblait moins fière, moins vaillante, moins répressive aussi, que lorsque des centaines de milliers de personnes, très majoritairement de souche européenne, ont défilé dans le calme, dans toute la France, pour défendre la famille.
Une police qui semblait faire moins de zèle et de politique de l’interpellation, par rapport aux nombreuses arrestations, aux multiples coups de matraque, aux éternelles procédures judiciaires dont ont fait l’objet les opposants au mariage pour tous et de façon plus générale, à la dictature socialiste en place actuellement.
Que l’on pense aux 67 veilleurs mis en garde à vue pour avoir occupé l’esplanade des invalides, qui risquent jusque un an de prison, et comparez avec la vingtaine d’interpellés hier soir, pour des faits autrement plus graves.
Oui, il s’agit bien là d’une dictature socialiste qui se met en place depuis plus d’un an, bien aidée en cela par une droite peureuse, terrifiée à l’idée de s’élever contre l’idéologie bien-pensante, humaniste et libérale, de crainte de se voir qualifier de raciste, homophobe, réactionnaire… En ne remettant jamais en question le travail de destruction culturel, social, économique, ethnique prôné par les socialistes depuis 60 ans, la droite fait le lit des violences qui ont eu lieu hier soir.
Car cette dictature socialiste, répressive à l’égard des défenseurs de la famille, mais aussi de ses traditionnels opposants, semble bien tolérante à l’égard de toute « la misère du monde » qui déferle des banlieues françaises avec une soif de revanche, une soif de vol et de pillages, soif nourrie au quotidien par les sociologues, chercheurs au CNRS, journalistes, people et politiques qui deviennent au fil des années de véritables « chercheurs d’excuses professionnels ».
Une majorité de jeunes noirs et Arabes saccagent un bus de touristes devant la tour Eiffel et pillent des boutiques ? 
« Construisons-leur une huitième MJC dans leur quartier, les sept autres ayant brûlées », « Offrons-leur des vacances dans les rares régions de France préservée de ces bandes ethniques, histoire qu’ils leur apprennent le vivre ensemble façon “9-3”
Ces jeunes se comportent de façon barbare et incontrôlable, agressant passants et policiers ? 
“C’est le racisme de la société française blanche, mais aussi la traite des Noirs ou encore la mémoire des exactions de Charles Martel qui les pousse à vouloir se venger, ils ont donc raison”
Oui, il s’agit bien d’une dictature qui s’instaure petit à petit, dans un climat proche d’une guerre civile et ethnique. Une dictature qui joue le Lumpenprolétariat (les racailles, les bandes ethniques) contre son propre peuple.
Une dictature qui chercher à restreindre le dernier espace de liberté d’expression qu’est aujourd’hui Internet.
Une dictature qui asphyxie le contribuable français, sous des charges, des taxes toujours plus élevées, et une répression féroce pour tous les contrevenants (automobilistes en tête). Mais une dictature si permissive avec “ceux qui sont majoritaires dans les prisons, mais qu’on ne peut pas nommer”, parce qu’effrayée par la violence dont font preuve les nouvelles “classes populaires” dès lors qu’on ne les “respecte pas”.
Une dictature qui accepte sans broncher que des pans entiers du territoire soient rachetés par des pays (et notamment le Qatar) qui ont une soif de conquête et de revanche sur les Européens dont nous voyons aujourd’hui à peine les prémices.
Une dictature qui préfère envoyer la police gazer des enfants et des manifestants dont elle connaît le peu d’agressivité et le peu de sentiment belliqueux, plutôt que de l’envoyer mettre fin définitivement aux exactions des bandes ethniques dans les cités et désormais en plein cœur de la capitale.
Les Français doivent désormais savoir que dans les années de troubles qui viennent, troubles sociaux, économiques ou ethniques, ils ne pourront plus compter sur leurs gouvernants, ses politiciens et tout ce microcosme médiatico-politique.
Ils ne doivent de toute façon plus compter sur des gens qui ne partagent ni leurs intérêts ni leurs préoccupations.
À nous militants politiques, associatifs, syndicaux, de savoir construire et activer les réseaux nécessaires à la mise en place d’une société qui sache s’opposer avec force et revendication à tous ceux qui souhaitent la destruction de nos peuples.
« quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir ».

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