vendredi 10 mai 2013

Un 8 mai normal, par Alain de Montere

Au fait, il serait bon de faire un sondage, auprès d’un certain nombre de « résidents en France », (c’est à dessein, vous le comprenez bien, vous les vrais Français, que j’use de cette formule), soit environ 100[3,14159265359] sujets représentatifs, afin de savoir combien, parmi ceux-ci, savent à quelle célébration correspond cette fameuse date...
Pas si fameuse que ça, tout compte fait, pour les millions d’allogènes qui n’en ont que foutre ! Hein, Mohamed Machin ?
Le 8 mai en Hollandie, donc… D’abord, pas un chat dans les rues, pas un chat sur les Champs, pas un chat à l’Étoile… Ça serait-y-pareil si « on » savait avec certitude que, sous la dalle, c’est un Chose-ben-Truc-mon-C… ? « On » se gardera bien de répondre.¢
Néanmoins, « Moi, Hollande 1er me suis privé de ce bain de foule régénérateur qu’affectionnait mon prédécesseur Niko-Caesar… Mais, faut pas déconner ! Y veulent tous ma peau ! C’est qu’un Français – si-si, il en reste de ces salauds -, au hasard un citoyen qui bosse, paie ses impôts et à l’occasion les PV que lui collent les sbires racketteurs de Valls, qui élève ses enfants en tâchant de ne pas montrer qu’il les aime de tout son cœur pour éviter de se faire accuser par un voisin socialo de pédophilie (la chose n’étant permise qu’à Cohn-Bendit et consorts), qui n’a pas droit lui à la CMU, mais se fait racketter un « max » sur sa feuille de paie afin qu’après la Sarkosie, ma Hollandie puisse assurer l’hébergement, l’alimentation, l’instruction, la coranisation, les loisirs, la santé…, de millions de vraies sangsues qui ne foutent rien, sauf dealer, voler, maquereauter, agresser tout ce qui passe à portée… de peur qu’un Français, donc, me crache à la gueule ! Alors, comme je l’ai dit jadis, y’a pas d’lézard, mais moi, j’suis pas un guerrier… j’ai pas fait l’Armée, because ma myopie… » Ça, pour avoir l’air con et la vue basse… (Par expérience personnelle, je peux certifier qu’une quantité de myopes ont été appelés sous les drapeaux année après année, sans espoir d’y échapper, eux, parce qu’étant de pauv’types qu’avaient pas d’papa friqué (d’extrême droite, en passant) et qu’ont pas pu faire les grandes écoles…)
N’empêche qu’aujourd’hui, président-le-petit d’une république en perdition, et non pas de France, le bigleux est grand maître de l’Ordre de la Légion d’Honneur !!!
Napoléon doit, post-mortem, sous son illustre Dôme-Tombeau, sentir ses maux d’estomac s’en réveiller.
Le 8 mai en Hollandie, au soir…
Une ministre, une certaine Philippetti, transfuge des verts (parce que ces pignoufs n’ont pas été foutus de reconnaître ma valeur, moi fille d’émigré rital coco, agrégée de lettres « classiques » et écrivailleuse de seconde zone, s’il vous plait !) appelle Moi Hollande 1er : François courage… Ça ne s’invente pas !
Nous avons eu Jacques le fataliste, et nous avons aujourd’hui François courage… Décidément, les pseudos intellectuels de gauche ne manquent pas d’aplomb… et les meufs plus que les keums, peut-être !
Le 8 mai en Hollandie…
Pendant que sa poltronne majesté Courage-Fuyons, se carapatait en lousdé, deux des guignols du Ayrault-band préparaient l’avenir électoral en faisant les troquets…
Encore que Moi Hollande 1er n’est rien de commun avec Sa Majesté Louis XIII, pas même le soupçon d’un reflet de son image, lequel des deux conspirateurs se prend pour Richelieu et l’autre pour Cinq-Mars…
Tudieu ! C’est que Monsieur le Grand y a laissé sa tête !
Allons, amis(es), espérons…
Voyez les soviets qui se croyaient indestructibles et, comme Ramsès, se construisaient des temples de millions d’années…
Voyez les cocos français d’hier, il n’en reste que l’ersatz Mélangeons…
Voyez la droite bourgeoise survivante des accapareurs du XIXème siècle… elle agonise avec la crise qu’elle a propagée dans le monde entier…
Le futur pouvoir en France est ailleurs… Il n’est pas, ne peut pas être, ne sera pas, le fait d’un unique parti, mais la volonté commune d’entités politiques rassemblées par les mêmes valeurs, les mêmes aspirations, les mêmes idéaux qui font œuvrer pour la pérennité d’une grande nation.
La Patrie n’est-elle pas la quintessence du peuple ?
Je sais, c’est du pathos, mais à défaut…

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