ANGERS (NOVOpress) — Le blanc-seing accordé
aux groupuscules « antifas » par Valls et Taubira, suite au décès
tragique de Clément Méric, aurait-il été perçu comme une autorisation de
tuer ? On peut légitimement s’interroger suite à la violente agression
dont a été victime un militant de Génération Identitaire à Angers ce
vendredi 14 juin après midi dans le centre ville d’Angers.
Il est 18h30 lorsqu’un groupe de cinq jeunes militants patriotes
sortent d’un immeuble dans une rue commerçante et animée du
centre-ville, ils sont alors pris à partie par quatre personnes se
revendiquant « antifas » pour les avoir reconnus à une soirée des
Veilleurs à Angers. Un des jeunes militants présents sur les lieux
témoigne : « Ils nous ont insultés : nous leur avons demandé qui ils
étaient, ils ont refusé de nous répondre, l’échange en est resté là.
Moins de deux minutes après, dans la même rue, une vingtaine de
personnes nous sont tombées dessus, armées de planches à clous, de
battes de base-ball, ainsi que de poings américains et de couteaux. » Le
choc est bref et violent, le jeune identitaire qui tente de faire face
est violemment frappé à la tête par un des antifas, armé d’un manche en
bois hérissé de clous, par un coup porté à l’arrière du crâne, sa tête
heurte la lunette arrière d’un véhicule en stationnement, brisant
celle-ci.
Sonné, le militant tombe au sol et son agresseur le frappe encore à
la tête. Par miracle, le jeune identitaire s’en tire sans trop de mal,
il témoigne aujourd’hui : « Je m’en tire avec des douleurs aux
côtes, deux impacts de planches de 5 cm de long : Un sur le crane et le
deuxième sur la nuque (avec un trou de clou). En prenant le premier coup
ma tête à heurté une vitre de voiture qui a éclaté sous l’effet du
choc, je me suis retrouvé par terre, mon agresseur en a profité pour me
mettre un autre coup sur la nuque. J’ai eu beaucoup de chance, je pense
que ces coups auraient pu être mortels. »
Des coups mortels comme pour Clément Méric. Mais cette fois
avec préméditation puisque tout laisse à penser qu’il s’agissait d’un
guet-apens, les agresseurs étaient surarmés et les coups portés à la
tête, y compris sur un homme à terre, témoigne d’une intention de tuer
ou, tout du moins, de blesser gravement… La cible ce soir là
semblait être Jean-Eudes, le responsable départemental FNJ, qui faisait
partie du petit groupe d’amis pris à partie, et qui déjà été menacé à
plusieurs reprises jusque chez lui !
Alertée par des témoins, la police intervenue rapidement sur les
lieux a interpellé celui qui serait l’auteur des coups. Il est mineur,
aurait déjà un passé judiciaire chargé et serait fils d’enseignant,
comme Clément Méric… Au contraire de l’affaire Clément Méric, par
contre, cette agression fait à ce jour l’objet d’un silence de plomb
dans les médias locaux et bien sûr des autorités politiques locales.
Cette agression fait monter encore d’un cran la tension à Angers où
les groupuscules gauchistes entretiennent un climat tendu depuis
quelques semaines : soirées des Veilleurs perturbées, présence de
manifestants masqués ou cagoulés, menaces de morts envers des militants
nationaux. Face à cette apparente impunité des bandes armées gauchistes,
militants du FNJ, jeunes de Génération identitaire, défenseurs de la
famille font front commun avec calme et détermination.
François Hollande voulait une France apaisée, force est de constater
que, même dans la ville du bon roi René, la légendaire douceur angevine
n’est plus.
Crédit photo : DR Angers http://fr.novopress.info
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