En fermant en quelques heures les écrans des cinq chaînes de
télévision publiques et toutes les radios d’Etat, le premier ministre
grec Antonis Samaras, qui rend des comptes cette semaine à la troïka des
créanciers internationaux du pays, a sans doute voulu montrer sa
détermination à s’attaquer aux « vaches sacrées » du service public, expression péjorative utilisée par le porte-parole du gouvernement.
En tout cas, l’Europe officielle (commission européenne, merdias, politiciens, syndicats, etc.) est en émoi et les condamnations fusent.
En tout cas, l’Europe officielle (commission européenne, merdias, politiciens, syndicats, etc.) est en émoi et les condamnations fusent.
Le ministre français de la culture Filippetti a déclaré que « C’est
une tragédie pour la démocratie ». La Commission européenne a insisté
sur la place « essentielle » du service public « dans la démocratie
européenne », etc. etc.
Si l’on entend par « démocratie » le Système, nous sommes tout à fait
d’accord avec eux et nous ne pouvons que nous réjouir de la fermeture
de certaines chaînes (malheureusement provisoire, on peut le craindre) :
le Système maçonnico-capitalo-mondialiste asservit mentalement les
peuples en large partie grâce à l’influence colossale des médias. On
comprend que l’Oligarchie et tous ceux « qui en croquent » s’émeuvent à
ce point.
En Grèce, où tout le monde est « sous le choc », le parti «
patriotique », nommé « Les Grecs indépendants » s’oppose à la fermeture
de la télévision publique, alors que le parti nationaliste « Aube dorée » approuve et apprécie la fermeture.
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