Monsieur Sieffert,
« Pour Jean-Pierre Filiu, l’inaction occidentale condamne les Syriens à être d’abord la proie du régime, puis des djihadistes », écrivez-vous dans un dossier de cinq pages consacré à la Syrie dans Politis du 23-29 mai 2013 (1), dossier contenant un entretien avec Jean-Pierre Filiu et largement consacré à pourfendre la « désinformation » et le « conspirationnisme ». Mais pour dénoncer la désinformation, ne faut-il pas soi-même vérifier ses sources ?
Des enquêteurs indépendants en Syrie
Vous écrivez, page 21, que Bachar el-Assad organise un « blocus de l’information » en Syrie. Page 23, Jean-Pierre Filiu enfonce le clou et affirme : « Depuis
deux ans, [Bachar el-Assad] interdit donc avec constance l’accès au
terrain aux journalistes, aux enquêteurs indépendants ». C’est
faux. Dans une lettre de onze pages adressée récemment à votre confrère
Stéphane Paoli (de France Inter), et sources à l’appui, j’examinais les
informations rapportées par huit enquêteurs indépendants ainsi que par
un neuvième groupe d’enquêteurs a priori hostiles au gouvernement de
Bachar el-Assad, puisqu’il s’agissait de la Mission d’observation de la
Ligue Arabe. TOUTES ces sources, Monsieur Sieffert, ont pu enquêter
librement sur place et donnent raison à la version gouvernementale
(syrienne) des faits – et tort à Jean-Pierre Filiu. Ces enquêteurs ont
pu constater sur place que la population syrienne, après avoir certes
manifesté et espéré des améliorations sociales et démocratiques en mars
2011, demande maintenant la protection du gouvernement contre
les rebelles, pour la plupart des combattants islamistes sunnites venus
de l’étranger (Irak, Libye, Afghanistan, etc.) et dont le comportement
se situe entre le terrorisme et le banditisme, armement lourd en sus.
Militaires, civils et infrastructures paient un lourd tribut à la
violence de ces combattants perdus et déracinés. Ces enquêteurs font
également état, preuves et preuves photographiques à l’appui, d’une
intense campagne de désinformation contre le gouvernement de Bachar
el-Assad et soulignent le rôle d’un personnage clef, Oussama Ali
Suleiman, ennemi juré de Bachar el-Assad et l’homme qui a volé le mot de
passe du site Internet de l’OSDH après s’y être introduit sous une
fausse identité. Ayant longuement détaillé et étayé ces multiples
aspects dans la lettre à Stéphane Paoli, rendue publique (2), je n’y
reviens pas ici.
Dans l’entretien, Jean-Pierre Filiu affirme que « Si Bachar faisait face à un complot extérieur, il n’aurait pas tenu un mois »
(page 24), en évoquant la puissance de feu israélienne – mais en
oubliant celle des Russes. Nous pouvons lui répondre qu’au contraire,
sans le soutien de sa population, Bachar el-Assad serait déjà tombé.
Les revendications des Syriens
Votre dossier, écrit avec Lena Bjurström et Céline Loriou, accuse les “conspirationnistes” et une partie de la gauche d’ « occult[er] les facteurs sociaux et humains du soulèvement » (page 21) et de ne « Rien [dire] sur les aspirations démocratiques du peuple Syrien »
(page 21). Là encore, c’est faux. Le dossier du CIRET-AVT / CF2R (3)
(l’une des sources de la lettre à Stéphane Paoli) décrit au contraire
l’Histoire et le contexte politique, social et économique de la Syrie.
Page 10, le rapport décrit la nature du système politique syrien : « L’armée
et les forces de sécurité sont la clef de voûte du régime. L’appareil
d’État repose sur un grand nombre de services spéciaux et de gardes
prétoriennes. Leurs dirigeants, même s’ils préfèrent rester dans
l’ombre, sont les personnages incontournables dans le pays. Si le
président dispose formellement de tous les pouvoirs, il lui faut
cependant compter avec les caciques du régime qui peuvent déclencher à
tout moment une révolution de palais si ses décisions ne leur
conviennent pas. » Assurément pas une démocratie.
Soeur Marie Agnès (une autre source de la lettre à Stéphane Paoli), une
catholique dirigeant un monastère et vivant en Syrie depuis 18 ans,
soutient, elle aussi, les aspirations démocratiques de la population.
Mais ce qu’elle rapporte aussi est l’amertume des démocrates sincères
devant la tournure prise par les événements : « Ça ne veut pas dire
que le peuple Syrien n’a pas le droit à un changement démocratique, bien
sûr, mais la réalité sur le terrain a désabusé les révolutionnaires
eux-mêmes, qui ne se lassent pas de dire que leur grand désir a été
évincé par l’apport massif de factions financées, protégées, entraînées,
et même armées et qui sont envoyées en grande quantité (…) » (4)
Le volet social et économique n’est pas oublié. Pages 11 et 12, le
dossier du CIRET-AVT / CF2R évoque les difficultés des Syriens en ces
domaines : « Depuis plusieurs années, la Syrie est confrontée à des
difficultés économiques et sociales majeures : chômage endémique, hausse
vertigineuse du coût de la vie et afflux de réfugiés irakiens qui
viennent grossir les rangs des Palestiniens déjà présents dans le pays.
Le chômage touche 25 % de la population (23 millions d’habitants) dont beaucoup de jeunes (…).
Les fonctionnaires de rang subalterne sont souvent obligés d’avoir
un deuxième emploi dans le privé pour subvenir à leurs besoins et à ceux
de leurs familles. »
Cependant, bien qu’il soit important de revendiquer des progrès
politiques, sociaux et économiques en Syrie, ce débat n’est pas
judicieux avec n’importe quel interlocuteur ni à n’importe quel moment.
Notamment, il n’est pas judicieux lorsqu’une intervention
militaire se profile et se prépare. Car qu’en sera-t-il de tous ces
espoirs, une fois les bombes tombées ? Le pays sera plongé dans le chaos
et la violence, comme en Libye et en Irak après les interventions des
puissances militaires occidentales.
Les comportements d’espèce
Mais admettons : des témoins, des enquêteurs et des journalistes rapportent aussi
des informations allant dans le sens d’une oppression brutale en Syrie.
Dès lors, le doute est permis – et il est sain. Alors, qui croire ? De
la même façon qu’un spécialiste des fourmis est capable de décrire
l’organisation d’une fourmilière croisée au hasard d’une promenade en
forêt après avoir identifié son espèce, mais sans avoir étudié cette fourmilière-ci en particulier,
nous pouvons poser la question : lorsque qu’un groupe d’humains
supérieur militairement cherche à s’emparer d’un pays étranger, pour ses
terres, ses ressources naturelles, ses marchés ou toute autre raison,
comment s’y prend-il ? Pour tenter de répondre à cette question,
tournons-nous vers le passé, c’est-à-dire vers l’Histoire – en principe,
la spécialité de Jean-Pierre Filiu. Citons quelques précédents :
l’affaire Thornton en 1846 (5), l’affaire du cuirassé Maine (6),
l’incident de Mukden (7), l’incident de Gleiwitz (8), l’attaque de Pearl
Harbor (9), l’incident du Golfe du Tonkin (10), l’attentat de La Belle
(11), l’affaire des couveuses koweïtiennes (12), les attentats de Moscou
en 1999 (13), les attentats du 11-Septembre 2001 (14), les armes de
destruction massive irakiennes et le massacre aérien de Benghazi (15).
Nous voyons, sur ces cas d’espèce couvrant tout le XXe siècle et
au-delà, que lorsqu’un pays supérieur militairement agresse un autre
pays, il ment ou monte une manipulation afin de convaincre l’opinion
publique qu’il est en réalité une victime du pays attaqué. La guerre
rapportera ainsi le butin de guerre, comme attendu, tout en protégeant
la bonne conscience de l’opinion publique et en galvanisant les troupes
qui, naturellement, mettraient beaucoup moins d’entrain au combat si les
véritables buts de guerre lui étaient donnés. Si le message adressé aux
troupes était que le pays partait commettre un pillage, les soldats
comprendraient que cette froide logique risquerait un jour de se
retourner contre eux.
Bien entendu, il ne s’agit pas de conclure que toute guerre
est forcément accompagnée de mensonge, de la même façon que le contexte
peut produire des fourmilière atypiques (adaptation à un biotope
particulier, à des prédateurs, etc.). Cependant, nous allons voir que
les pays occidentaux ont une puissante motivation pour renverser Bachar
el-Assad.
Pénurie d’énergie
Les géologues et les spécialistes de l’énergie s’accordent pour situer
le Pic Pétrolier, c’est-à-dire le point culminant de la production
pétrolière mondiale, aux alentours de 2015. Le Pic Pétrolier souffre par
ailleurs d’être particulièrement mal connu du grand public et
de nombreux experts. Le déclin de la production est pourtant une réalité
observable et observée depuis des décennies, dans de nombreuses
régions, et depuis quelques années au niveau mondial pour le pétrole
conventionnel hors OPEP. L’OPEP, pour sa part, publie des données
délibérément fausses, comme le révélait Éric Laurent (16), mais a
probablement, lui aussi, passé son pic. L’Arabie Saoudite, poids lourd
de l’OPEP, n’arrive plus à fournir ce qu’elle promet (17).
Le pétrole non conventionnel ne sera probablement pas en
mesure de remplacer le conventionnel, en termes de débit de production.
Les récentes annonces tonitruantes au sujet des huiles de schiste aux
États-Unis laissent de marbre certains experts, notamment au regard du
déclin rapide de la production du Montana. (18)
S’agissant du seul pétrole conventionnel, l’AIE place, en dernière
estimation, le pic en 2008. (19) Mais peu importe la date précise :
l’époque où les États-Unis, gros consommateurs de pétrole, pouvaient
faire face à d’éventuelles menaces de pays voyous ou à des troubles
géopolitiques régionaux en demandant à leurs amis saoudiens d’augmenter
la production, est révolu. Non seulement la production mondiale plafonne
mais la demande croît de façon exponentielle, ce qui a fait prévoir par
le très sérieux Council of Foreign Relations (CFR) en avril 2001, des
conséquences géopolitiques : « Une forte croissance économique à
l’échelle du globe et un nouvel accroissement de la demande mondiale en
énergie ont sonné le glas des possibilités de réserves supplémentaires
d’hydrocarbures et provoqué le début d’une pénurie. De fait, le monde
est aujourd’hui désespérément proche d’une utilisation totale de ses
capacités de production de pétrole, augmentant ainsi les probabilités
d’une crise pétrolière dont les conséquences seraient plus importantes
que tout ce à quoi on a pu assister en trente ans.
Ces choix affecteront également d’autres objectifs de la politique
des États-Unis : leur politique vis-à-vis du Moyen-Orient, leur
politique vis-à-vis de l’ancienne Union soviétique et de la Chine, et le
combat contre le terrorisme international. » (20)
Les « objectifs » du CFR sont clairement apparus au cours de
la décennie écoulée, avec les guerres aux visées pétrolières évidentes
menées par les États-Unis et leurs alliés en Irak (quatrièmes réserves
mondiales de pétrole conventionnel), en Libye (septièmes réserves) et en
Afghanistan, pays par lequel doivent transiter les ressources de la
Caspienne, sans oublier l’Iran (troisièmes réserves) et le Venezuela
(premières réserves), tous deux cibles d’une campagne de diabolisation
préparatoire. Désormais, le moindre petit puits de pétrole ou de gaz est
un enjeu et sera disputé à la concurrence, comprendre : les pays
émergents. Si la Chine, de son côté, s’est appuyée jusqu’ici (faute de
grives…) sur ses immenses réserves de charbon, ces dernières ne sont pas
inépuisables. Au rythme de la croissance actuelle de ce pays, le
charbon chinois sera épuisé d’ici quelques décennies, selon
Richard Heinberg. (21) Cela ne lasse pas de faire frémir puisque la
Chine sera alors devenue une grande puissance économique et militaire.
Le dossier de Politis, tout en accusant une certaine gauche
d’oublier le peuple Syrien, oublie lui-même cette problématique du Pic
Pétrolier, malgré l’existence par ailleurs d’un lien direct entre prix
de l’énergie et chômage, tel que l’a montré Jean-Marc Jancovici (22). Un
argument auquel la Rédaction de Politis devrait être sensible.
La Syrie, pour y revenir, est une pièce importante. Elle possède du gaz
et se trouve également sur le chemin de futurs gazoducs, visant à
approvisionner l’Occident avec les réserves du Moyen-Orient. Mais,
au-delà de la précieuse matière première, un gazoduc représente aussi un
revenu pour les pays traversés, revenu que les multinationales
occidentales tiennent à s’approprier ou à “optimiser” grâce à un
gouvernement complaisant, éventuellement fantoche, placé par les
Occidentaux, comme en Afghanistan où le président lui-même est issu
d’une multinationale étasunienne du pétrole, UNOCAL. L’essentiel est que
les contrats soient signés avec l’apparence de la légalité.
Syrie : un récit invraisemblable
Tout est invraisemblable dans le récit que délivrent les grands médias
occidentaux sur la situation en Syrie. Comment imaginer qu’une armée, pendant deux ans,
tire au canon sur sa population ? Pinochet ou Kim Jong-il ont-ils
jamais commis de tels massacres ? Si le gouvernement algérien est,
certes, soupçonné d’avoir contribué aux massacres des années 1990, cela
s’est opéré sans pertes humaines chez les militaires exécutant ces ordres criminels, et dans un contexte précis : pour justifier le coup d’État des généraux après les élections. Rien de tout cela en Syrie, où militaires et policiers représentent environ 30 % des pertes et où Bachar el-Assad n’était nullement menacé par les manifestations pacifiques de mars 2011, l’appareil autoritaire étant déjà là et ayant su reprendre la main après le “Printemps de Damas” en 2000, comme le rappelle le CIRET-AVT / CF2R. (3)
Les rebelles, eux, sont dans une logique de conquête du pouvoir.
D’autre part, si réellement Bachar el-Assad commettait de tels
massacres, il se trouverait certainement un militaire pour le liquider :
on a assassiné des dirigeants pour bien moins que ça, par exemple
l’empereur romain Caligula, tué par sa propre garde pour des motifs
autrement plus légers.
Quant à la population Syrienne, devons-nous croire qu’elle se jette au-devant des balles, depuis deux ans ? Votre dossier pointe la « lecture géostratégique simpliste »
des “conspirationnistes” (page 22) mais n’explique pas pourquoi la
population algérienne ne bouge pas, malgré un pouvoir autrement plus
caricatural, et qui ne cède rien. (23)
Un dossier bâclé
Page 20 de Politis, une photo pleine page fait l’éloge (?) des
enfants soldats “recrutés” par les rebelles. Page 23, une autre photo
montre le drapeau syrien re-colorié par les rebelles aux couleurs de
l’Islam, le vert. Et c’est bien d’Islam dont il s’agit : comme le
rapporte le New York Times, « Il n’y a nulle part sur le territoire syrien contrôlé par les rebelles de force armée laïque de quelque importance. » (24) Quels progrès démocratiques attendre de fanatiques religieux, qui égorgent leurs ennemis et enrôlent des enfants ?
Votre éditorial (page 21) fait l’éloge de l’ouvrage du Père Paolo, un
ecclésiastique dont le discours est tout à fait minoritaire au sein des
Chrétiens Syriens et qui reprend, étrangement, mot pour mot le
vocabulaire et les arguments impérialistes, comme l’a montré avec
précision François Belliot dans un article très fouillé paru en même
temps que votre dossier. (25)
Vous écrivez (page 23) que les États-Unis préfèrent Bachar el-Assad au
pouvoir, qu’al-Qaïda. Pourtant, souvenez-vous que les États-Unis ont
soutenu les Taliban, avant de les renverser. La religion a l’avantage
d’être facile à manipuler, surtout lorsque les dirigeants sont novices
en politique.
Jean-Pierre Filiu est-il historien ?
Jean-Pierre Filiu n’est certes pas géologue ni expert en énergie, et
l’on peut comprendre qu’il ignore le phénomène du Pic Pétrolier, et donc
une partie (colossale) des enjeux. Mais en sa qualité d’historien, il est impardonnable
lorsqu’il plonge tête baissée dans la propagande de l’OSDH et des
gouvernements occidentaux (26). Jean-Pierre Filiu aurait-il oublié les
manipulations passées ?
Politis reprend sa position avec bien peu d’esprit critique.
Monsieur Sieffert, comment pouvez-vous avoir écrit “La nouvelle guerre
médiatique israélienne” et “Mélenchon et les médias”, deux ouvrages
spécialisés dans l’analyse de la propagande médiatique, et tomber dans
celle de l’OSDH ? Que nous reste-t-il sinon à espérer que vous
recouperez davantage vos informations à l’avenir sur le dossier Syrien
et que vous ouvrirez vos colonnes aux personnalités sérieuses et
indépendantes qui, après enquête sur le terrain, sont revenues avec un
point de vue différent sur la dramatique situation en Syrie.
Yves Ducourneau, le 4 juin 2013 http://www.agoravox.fr
Notes :
(1) “Désinformation et complotisme”, par Denis Sieffert, Lena Bjurström et Céline Loriou, 23-29 mai 2013, Politis
(2) “Syrie : où nous emmène Jean-Pierre Filiu ?”, par Yves Ducourneau, 10 mai 2013
(3) “Syrie : une libanisation fabriquée”, par le CIRET-AVT et le Cf2R, janvier 2012
(4) “Syrie : témoignage poignant d’une Sœur !” (vidéo, 19’), par sœur Marie-Agnès, mai 2013, Radio Courtoisie
(5) “L’affaire Thornton, l’incident déclencheur de la guerre entre les États-Unis et le Mexique en avril 1846”, par François Belliot, 28 février 2012
(6) “15 février 1898 : Explosion du cuirassé Maine”, herodote.net
(7) “L’incident de Mukden du 18 septembre 1931, déclencheur de l’invasion de la Mandchourie par le Japon”, par François Belliot, 17 janvier 2012
(8) “La station de radiodiffusion de Gleiwitz (Gliwice)”, par Jean Maridor
(9) “La guerre contre la vérité”, par Nafeez Mosadeeq Ahmed, 2006, éditions Demi-Lune, pages 457-460
(10) “La guerre contre la vérité”, par Nafeez Mosadeeq Ahmed, 2006, éditions Demi-Lune, pages 463-465
(11) “L’attentat de La Belle en avril 1986, 1er casus belli contre la Libye de Kadhafi”, par François Belliot, 11 mai 2012
(12) “Le mensonge des couveuses koweïtiennes”, par Patrick Pesnot, 1er décembre 2012, France Inter
(13) “Russie : qui a commis les attentats de 1999 ?”, par Sophie Shihab, 17 novembre 2002, Le Monde
(14) “Omissions et manipulations de la Commission d’enquête sur le 11 septembre”, par David R. Griffin, 2006, éditions Demi-Lune
(16) “La face cachée du pétrole”, par Éric Laurent, 2007, Pocket, pages 261-264
(17) “Arabie Saoudite - deux surprises préoccupantes”, par Matthieu Auzanneau, 25 avril 2011
(18) “Les Etats-Unis, 1er producteur mondial de pétrole en 2017 ?”, par Matthieu Auzanneau, 13 novembre 2012
(19) “Nouvelles du pic pétrolier !”, par Benoît Thévard, 24 février 2012
(20) “Franchir le Rubicon” tome 1, par Michael C. Ruppert, 2006, éditions Nouvelle Terre, pages 48-49
(21) “La fin de la croissance”, par Richard Heinberg, 2012, éditions Demi-Lune, pages 228-232
(22) “Le prix du pétrole gouverne-t-il l'économie ?”, par Jean-Marc Jancovici, août 2005
(23) “La Colonie française en Algérie”, par Lounis Aggoun, 2010, éditions Demi-Lune
(24) “Islamist rebels create dilemma on Syria policy”, par Ben Hubbard, 27 avril 2013, New York Times
(25) “Chrétiens de Syrie : le mensonge organisé des médias français”, par François Belliot, Réseau Voltaire, 18 mai 2013
(26) “Alain Juppé accusé par sa propre administration d’avoir falsifié les rapports sur la Syrie”, par Réseau Voltaire, 20-03-2012
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