Aujourd'hui, les commandos russes
déployés en Crimée font comme l’Otan au Kosovo : ils “sécurisent”… À
Pristina, les Kosovars albanais dénonçaient la violence des Serbes. À
Simféropol, les russophones refusent la loi des “fascistes” de la place
Maïdan, dont une des premières mesures fut la suppression du russe comme
langue officielle.
Michel Janva"Poutine nous “renvoie dans la gueule” ce fameux droit d’ingérence que l’Occident lui avait imposé au Kosovo, une aberration politique illustrée hier par Bernard Kouchner, aujourd’hui à Kiev par Bernard-Henri Lévy."
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