vendredi 13 mai 2016

Le nabab élyséen serait-il en train de disjoncter ?

Dr Bernard Plouvier
Certes, il existe une procédure pénale visant à réprimer les « injures au chef de l’État ». Encore faut-il que le « chef » respecte l’État et qu’il respecte le seul maître de cet État, soit la Nation, seule souveraine. Car, si d’aventure, le « chef » ne respectait plus le souverain, il serait coupable du crime de lèse-Nation ou de forfaiture, au choix – c’est affaire de spécialiste.
Immédiatement après les attentats de novembre 2015 (soit 10 mois après les premiers, ceux de janvier, tellement spectaculaires que leur retentissement avait été quasi-planétaire), le chef – avec un beau mouvement de (double)-menton -, nous place en état d’urgence. Rien à dire. On se sent dirigés et protégés.
On s’attend à un referendum sur le rétablissement de la peine de mort pour les terroristes et leurs commanditaires, à une nuée de descentes de police dans les salles de prière-salles de sports de combat (c’est une spécialité musulmane-djihadiste), à l’expulsion vers leurs pays d’origine de dizaines de milliers d’islamo-agités, à une interdiction d’immigration pour les musulmans… en bref on s’attend à ces mesures d’autodéfense et de protection de la Nation souveraine.
Et rien ne vient, hormis des attaques policières contre des initiatives de courageux Français opposés à l’islamisation de la patrie. Premier dysfonctionnement majeur du « chef » et de son sémillant premier ministre, qui n’aboie qu’à propos d’un inexistant « péril fasciste ». Messieurs recyclez-vous ! Le fascisme (celui que vous fantasmez) est mort depuis 1943 ou 1945, au choix.
Vient 2016 et sa cohorte d’indices économiques épouvantables. Le chômage a dépassé (catégories A, B et C additionnées) les 5 millions d’individus. Par divers coups de baguette magique, on en rabaisse les chiffres, grâce à des stages, à des retards de réinscriptions sur liste, etc… Il suffit de faire chuter les chiffres de 30 000 à 40 000 dans une catégorie pour qu’aussitôt, notre nabab crie au recul significatif  et même que « tout va mieux », que lui et son gouvernement « ont redressé la situation de la France » !
Or statistiquement, un recul de moins de 1% n’a aucune valeur, et d’autant moins qu’il n’est obtenu que par des artifices de calcul. Ce n’est plus du dysfonctionnement, mais de la désinformation – soit en termes clairs : un mensonge au peuple souverain. Crime de lèse-Nation.  

1916-2016, l’on commémore le centenaire de l’extraordinaire débauche d’énergie patriotique dépensée par des Français pour défendre la terre de leurs ancêtres et des Allemands pour faire triompher leur cause. L’on aurait trouvé naturel qu’un orchestre allemand soit invité pour jouer des œuvres de compositeurs français et un orchestre français pour des œuvres germaniques. Non, c’eût été une solution trop européenne. Le nabab décide d’inviter un rappeur d’origine africaine qui, depuis des années, casse les oreilles de ses auditeurs en éructant ses vomissures de haine anti-française, épicée de racisme anti-Blancs !
Là, notre nabab va trop loin. Il insulte la mémoire de nos aïeux. On ne sait trop où il a trouvé l’inspiration de ce concert fou à Verdun. Qu’il l’ait puisée au chevet de sa énième conquête (notre Adonis élyséen est tellement beau, svelte, sportif qu’il est effectivement taillé pour le rôle de Don Juan), dans la cocaïne ou le haschich (puisque, dans son bord, l’on envisage la dépénalisation de la toxicomanie), dans l’excès de voyages exotiques (car, on peut l’affirmer : il se sera beaucoup baladé « aux frais de la princesse » - au fait, la princesse, c’est le petit monde des contribuables)… bref, qu’il l’ait trouvée en consultant le marc de café ou sa madame Irma préférée, on s’en moque : Monsieur le chef de l’État a disjoncté.  
Le crachat sur la mémoire des victimes de la bataille de Verdun mérite un examen psychiatrique.

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