mercredi 11 mai 2016

Projets radicaux pour détruire les banlieues blanches aux États-Unis

Le ministre américain du Logement, Julian Castro, dont il se murmure qu’il pourrait être le colistier d’Hillary Clinton à la présidentielle, prépare le relancement d’un programme de logement qui cherche à forcer la présence de non-blancs dans les banlieues blanches à travers les États-Unis.
Le plan implique des subsides étatiques spéciaux detinés à aider les « pauvres urbains » à payer des locations plus chères dans les zones aisés, tout en nommant des agents immobliers gouvernement appelés « conseillers en mobilité » pour acheter des logements dans ces quartiers.
D’après un article du New York Post intitulé « La dernière action d’Obama est de forcer les banlieues à être moins blanches et moins riches » (en), Castro de prévoit de redémarrer le programme de section 8, bien qu’un programme semblable testé il y a quelques années à Dallas ait provoqué un déplacement de la criminalité violente vers les quartiers aisés.
Ce programme fait parti d’un « grand projet pour déségréguer de force les centre-villes et intégrer les banlieues », écrit le New York Post.
Le mois dernier, Castro a menacé les propriétaires des banlieues de discrimination s’ils refusent des locataires section 8 dotés d’un casier judicaire.
L’an dernier, il a aussi mis en place une nouvelle réglementation – « Poursuivre Positivement le Logement Équitable » – qui met sous pression tous les comtés de banlieue, pour toucher des subventions fédérales afin de changer les lois de zonages locales pour bâtir davantage de logements sociaux.
Les propriétaires de tels logements ont maintenant pour obligation d’accepter les bénéficiaires de la section 8.
Il est prévu que Castro finisse cette nouvelle réglementation, connue sous le nom de « Locations Équitables au [prix du] Marché des Petites Zones » cet octobre, dans les derniers moments de la présidence Obama.
Les limites d’allocations locatives sont actuellement définies par zone métropolitaine, ce qui rend les payements assez faible. Avec le nouveau projet, elles seraient établies par code postal.
Par exemple, le loyer équitable pour un studio à New York est d’environ 1250 dollars, ce qui ne couvrirait pas les frais locatifs des zones les plus riches du Comté de Westchester, comme Mamaroneck, « où Castro et ses sociologues veulent agressivement réinstaller des bénéficiaires de la setion 8 », indique le New York Post.

Dans les zones les plus chères, le projet de Castro – qui ne nécessite pas d’approbation du parlement – ferait plus que doubler les allocations, tout en couvrant les charges.
Dans le même temps, il entend réduire les aides pour ceux qui choisissent de rester dans les zones urbaines pauvres, comme Brooklyn. Donc les bénéficiaires de la section 8 ne seront pas seulement attirés dans les banlieues, ils y seront aussi poussés.
« Nous voulons utiliser nos allocations de choix de logement pour garantir que nous n’avons pas une concentration de pauvreté et l’aggrégation de minorités raciales dans une partie de la vile, la partie pauvre de la ville », a déclaré le chef de l’HUD, ajoutant qu’il essaye de défaire le « résultat de politiques et pratiques discriminatoires dans le passé, et parfois même maintenant ».
Une version préliminaire des nouvelles règles anticipe que plus de 350.000 bénéficiaires de la section 8 seront initialement réinstallés sous ce nouveau programme. Sous la présidence Obama, le nombre total de foyers touchant une aide au logement s’est accru à plus de 2,2 millions.
Le document argue que ces allocations plus importantes permettront aux familles urbaines pauvres de « déménager dans des endroits qui ont potentiellement un meilleur accès aux emplois, aux transports, aux services et à l’éducation ».
La théorie est que leur offrir davantage d’argent pour déménager dans des banlieues aisées va « améliorer leur situation ».
Mais comme le New York Post l’a signalé, les propres études du ministère du Logement prouvent que cette théorie ne correspond pas à la réalité.
En 1994, le président Bill Clinton avait lancé un programme semblable intitulé « Déménager vers l’Opportunité », qui a déplacé des milliers de noirs vers des maisons de plus haute qualité dans des quartiers plus sûrs et plus ségrégués racialement dans plusieurs comtés à travers le pays.
L’expérience de 15 ans a été un échec total : une étude de 2011 financée par le ministère du Logement a découvert que les adultes ayant utilisé les bons de section 8 les plus généreux n’ont pas obtenu de meilleurs emplois ni ne sont sortis de la dépendance à l’aide publique.
En fait, davantage ont eu recours aux bons alimentaires. Et leurs enfants n’ont pas fait mieux dans leurs nouvelles écoles.
Pire, la criminalité les a tout simplement suivi dans leurs nouveaux quartiers plus sûrs, ruinant la qualité de vie des résidents existants.
« Les hommes […] ont été arrêtés plus souvent que ceux dans le groupe de contrôle, principalement pour des vols », a découvert l’étude.
Dubuque en Iowa a par exemple reçu un afflux de bénéficiaires de bons venant de Chicago – et a un problème de criminalité depuis lors. Une étude récente a directement établi le lien entre la criminalité à Dubuque et la vague de logements section 8.
Le ministère du Logement a alors décidé qu’il fallait non pas arrêter le programme, mais le rendre plus agressif. Ils ont conclu qu’ils pourraient obtenir le résultat désiré s’ils plaçaient les pauvres urbains dans des zones encores plus aisées.
Le ministère du Logement a testé cette nouvelle théorie à Dallas, avec des résultats désastreux.
À partir de 2012, l’agence a rendu plus intéressant les bons de section 8, et a orienté ses bénéficiaires de centre-ville [ndt : les centre-villes américains sont colonisés par les non-blancs, et de ce fait, pauvres] aux comtés éloigns entourant Dalas.
Tandis que les locations financées par le gouvernement se répartissaient dans toutes l’aire métropolotaine de Dallas, la criminalité a fait de même.
Dallas a désormais l’un des taux d’homicide les plus élevés des États-Unis, et a récemment fait appel aux troupes de l’État pour aider la police à le contrôler.
Pour la première fois, la criminalité violente s’est déplacée vers les communauts du Nord de la ville. Les trois banlieues qui ont vu le plus de transferts de section 8 – Frisco, Plano et McKinney – ont subi des pics sans précédent de viols, d’agressions et de cambriolages.
Castro veut désormais déployer ce programme à l’échel du pays. Bientôt, il donnera aux bénéficiaires de section 8 l’argent pour payer une location où ils veulent – et s’ils ne veulent pas déménager, il va leur faire une offre qu’ils ne pourront pas refuser, indique le New York Post.
Ironiquement, la ville natale d’Hillary Clinton, Chappaqua, combat contre les logements section 8 à cause de leurs rapports à la drogue, à la criminalité et à d’autres problèmes.

Caelum non animum mutant qui trans mare currunt. « De ciel mais non d’esprit changent ceux qui franchissent la mer », écrivait Horace il y a deux millénaires.
On le voit bien avec les « migrants » qui franchissent la Méditerranée pour arriver en Europe, mais on le voit tout autant avec tous ces non-blancs déplacés dans des quartiers de blancs : ils ne se transforment pas soudain en blancs. Les causes profondes de leurs problèmes sont raciales.
Que le gouvernement Obama persiste avec ce projet en dépit des essais catastrophiques démontre au-delà de tout doute raisonnable que l’objectif n’est pas d’améliorer les conditions de vie des non-blancs, mais de dégrader celles des blancs et de faire en sorte qu’il n’y ait pas un seul endroit qui soit entièrement blanc. Pas une ville, pas un quartier qui soit autorisé à rester entièrement blanc.
L’objectif est très clair : c’est la destruction de la race blanche.
Le côté positif, c’est qu’une action aussi brutale et dénuée d’ambiguité ne pourra qu’ouvrir les yeux de centaines de milliers de blancs.
Traduction de l’article de New Observer.

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