mercredi 18 octobre 2017

Enseignement de l’affaire Pajot, l’élu FN agressé par des antifas

Le député FN  du Pas-de-Calais Ludovic Pajot, par ailleurs benjamin de l’Assemblée Nationale, a été agressé le 7 octobre par des militants d’extrême gauche alors qu’il se trouvait dans un bar de Béthune, commune dont il est l’élu.  Dans un message diffusé par les réseaux sociaux, il narre sa mésaventure :
Un seul homme politique hors Front National a daigné adresser un message, à savoir le président de l’Assemblée Nationale (un peu forcé de par sa fonction) François de Rugy, dans le strict minimum syndical : « Je souhaite, au nom de la représentation nationale, complet rétablissement à Ludovic Pajot Je condamne la violence dont il a été victime ». Cela rappelle que, lorsque Jean-Pierre Stirbois est mort dans un mystérieux accident de voiture le 5 novembre 1988, la seule élue de la République qui a envoyé ses condoléances à sa veuve Marie-France Stirbois – alors députée de Dreux – fut la députée de Rambouillet Christine Boutin… qui prônait par ailleurs l’interdiction du FN ! Cela rappelle aussi la mystérieuse affaire Bodein où la ministre israélite Nicole Guedj, qui s’était empressée de se rendre au chevet de la mythomane du RER D, avait snobé les familles d’Hedwige Vallée et de Jeanne-Marie Kegelin à cause de leur engagement patriotique (doublé pour les Kegelin à leur appartenance à la communauté traditionnaliste catholique).

Notons aussi la clémence de la justice envers sa milice auxiliaire antifa : le mercredi suivant l’agression, l’un des agresseurs – Antoine B., 28 ans –  bénéficia d’un vice de procédure. Ce dernier s’était vanté lors du procès d’avoir agressé Ludovic Pajot « parce qu’il fait partie du FN », et que « ses idées me répugnent ». L’autre – Julien R., 29 ans – n’écopa que de six mois avec sursis, au motif incroyable qu’il « ignorait la qualité de député de Ludovic Pajot au moment où il l’a agressé d’une manchette et d’une balayette à la sortie d’un bar », alors que son complice avait reconnu la chose. Notons également, cerise sur le Mc Do comme dirait l’autre, que la notion de violences en réunion n’a pas été retenue par le parquet, de même que leur appartenance au monde antifa. Or, si on en croit BFM-TV,  vraiment peu suspecte de sympathies pour le FN,  « Le député frontiste a été violemment pris à parti par trois jeunes hommes alors qu’il se trouvait dans un bar du centre-ville de Béthune. L’agression s’est déroulée en deux temps. Ludovic Pajot a d’abord été pris à partie par trois jeunes hommes dans ce bar. L’un d’entre eux porte un tee-shirt floqué « antifas » (pour anti-fachiste, NDR). Ils provoquent et insultent le député FN en raison de sa fonction et de son appartenance politique, le traite de « nazi ». les témoins présents sur place au moment des faits le confirment. Ludovic Pajot qui veut éviter la confrontation quitte alors l’établissement. Les trois suspects lui emboitent le pas et l’agressent physiquement dans la rue. Ils lui assènent au moins un coup de poing au visage et un coup de pied au ventre, avant de prendre la fuite. L’élu frontiste est alors pris en charge par les pompiers puis amené à l’hôpital pour des soins. Légèrement blessé, il a pu ressortir dans la nuit. La police a interpellé l’un des trois suspects dans la nuit. Cet homme de 28 ans défavorablement connu des services de police était toujours en garde à vue dimanche en fin de journée. Il reconnait les injures mais pas les coups et ne veut pas pour le moment révéler l’identité de ses complices. ».
Notons la discrétion de violette des torchons de propagande du régime, La Voix du Nord en tête, tout dans le conditionnel, visant à protéger les petits flics de la pensée.
L’enseignement à tirer de cette affaire est le suivant. Il est capital. Le Front National ou tout autre mouvement identitaire ne sera jamais admis dans le cercle républicain, quelque soit les reniements, les trahisons, les purges. Il est marqué à vie de la marque « impure » apposée tel un kashrut inversé. Donc, se « dédiaboliser » ne sert à rien. Il faut en tirer les conclusions qui s’imposent : puisqu’on est exclu par les « Républicains » alors pratiquons la réciprocité : interdiction des officines républicaines de nos meetings et réunion, embargo sur les information, refus des oukazes et mots d’ordres républicains et même, dans les zones libérées, épuration des symboles du régime (notamment noms de rues). Soyons fiers d’être stigmatisés, comme le Christ qui fut du symbole le plus ignominieux de l’époque, la croix, un symbole de victoire.
Hristo XIEP

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