[…] Les grands médias, rapporte The American Thinker, ont attribué cette victoire d’abord à une politique de tests à grande échelle associée au traçage des contacts. Ils ont bien dû reconnaître que les malades étaient massivement soignés à l’hydroxychloroquine. Mais ils sont passés à côté de plusieurs facteurs décisifs, qui expliquent qu’après un fort démarrage, Dharavi ait réussi à maîtriser la situation. Ainsi, les testés positifs, à l’instar de ce qui s’est passé dans le reste de l’Inde, ont été traités d’emblée à l’hydroxychloroquine associée à la vitamine D et au cachets de zinc, le tout soutenu par des traitements homéopathiques. Mais en outre, et suivant en cela les recommandations du Conseil indien de la recherche médicale, chargé de gérer la crise du COVID-19, on y a donné l’hydroxychloroquine à titre préventif pour les personnes à risque, notamment les médecins et tous les soignants risquant d’être en contact avec des personnes contagieuses. Cela comprend les soignants « asymptomatiques » travaillant directement avec des personnes contaminées, mais aussi tous ceux travaillant des les zones « non-COVID » des hôpitaux ou des blocs affectés aux patients COVID. […]
De quoi faire pâlir nos comités scientifiques et autres charlatans.
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