Il est très curieux de constater que cette très grave affaire de viols répétés, au vu des nombreuses plaintes qui ont été déposées contre le bras droit de George Soros, Monsieur Howard Rubin, n’ait jamais été traitée dans la presse française. En outre, il est encore plus consternant de constater que toutes les activités criminelles de ces milliardaires peuvent être camouflées par des accords signés entre les parties et comportant des clauses de confidentialité qui interdisent aux plaignantes d’en parler après avoir reçu quelques millions à titre de dommages, afin d’acheter, pour ainsi dire, leur silence. Un tel procédé n’a strictement rien à voir avec la justice ; c’est plutôt un moyen efficace permettant aux puissants d’échapper à la case prison avec la complicité passive des forces de l’ordre et des instances judiciaires. Enfin, cette énième affaire démontre que les élites politico-économiques mondiales, plus spécialement occidentales, totalement dégénérées et plongées dans une profonde décadence, n’ont absolument plus aucune morale et se permettent les pires dérives.
Selon des documents judiciaires, Howard Rubin, largement connu comme le bras droit de George Soros, a été accusé de diriger une « entreprise de traite des êtres humains » dans laquelle il aurait violé, agressé brutalement et réduit en esclavage des femmes dans un donjon sexuel de 8 millions de dollars à Manhattan.
Un ancien commerçant de Wall Street, Howard Rubin, 62 ans, a été accusé par trois femmes, dont deux lapins Playboy de haut niveau, de les avoir violées et battues dans un penthouse de Midtown qu’il aurait garni de cordes, de chaînes et d’autres équipements BDSM.
Le bras droit de Soros aurait attiré des dizaines de femmes de partout aux États-Unis en offrant entre 2000 et 5000 dollars pour une « camaraderie supposée et des séances photo » avant de les attaquer si brutalement qu’elles avaient besoin d’une chirurgie esthétique et dentaire reconstructrice, selon le procès.
L’un des accusateurs de viol de l’ancien gestionnaire de portefeuille du Fonds Soros, Howard Rubin, a ensuite reculé dans ses allégations suite au nouvel accord de règlement entre les deux hommes, selon des documents judiciaires et une déclaration sous serment.
Daily Mail rapporte : « Au cours d’une même séance, le père marié aurait bâillonné une femme et l’aurait électrocutée avec un étalon à l’aine avant de la violer, selon le procès ».
Dans un autre, il a battu les seins d’une femme « si gravement que son implant droit a basculé », pour lequel il lui a payé 20 000 $ pour réparer, ont déclaré les documents déposés par l’avocat civil John Balestriere.
La poursuite allègue que Rubin a dit aux victimes qu’il les ligoterait et les violerait, en disant : « Je vais te violer comme je viole ma fille
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