lundi 12 octobre 2020

Le Nuremberg des crimes contre l’humanité du Covid-19 s’ouvrira bientôt devant la Justice

 

Dr.Reiner Fuellmich ainsi qu’un collectif d’avocats internationaux représentant plus de 60 pays plaideront bientôt dans ce qui constituera sans doute la plus grosse affaire de responsabilité délictuelle de tous les temps [“tort case” en anglais].
Les responsables du scandale de la fausse pandémie du Covid seront poursuivis au civil aussi bien qu’au pénal. Ils feront également l’objet de poursuites en vertu de l’article 7 du droit pénal international, issu des procès de Nuremberg, qui régit les crimes contre l’humanité. 
Ces derniers forment une catégorie de crimes dont il n’est pas possible de se disculper en arguant du fait que l’on obéissait aux ordres de sa hiérarchie. L’invocation de l’article 7 permettra l’inculpation des criminels en blouse ou en col blancs, qui ont sciemment fait mourir des personnes âgées dans l’isolement et le désespoir, brisé des vies et ruiné des ménages.
Sur le plan politique, tout devra être fait pour que plus jamais personne ne puisse détenir autant de pouvoir entre ses mains et ne soit en mesure de manipuler ainsi l’humanité pour exécuter un agenda corrompu.
Reiner Fuellmich est un avocat inscrit aux barreaux allemand et californien, qui a plaidé contre la Deutsche Bank (autrefois l’une des plus banques les plus respectées au monde, mais devenue criminelle et corrompue), Volkswagen (l’un des constructeurs automobiles les plus importants et les plus solides, mais aujourd’hui connu pour sa fraude énorme  sur le diesel) et Kuehne and Nagel (la plus importante compagnie maritime mondiale), dans de grosses affaires de corruption.
Il est donc un habitué des affaires de fraude, ce qui le rend crédible lorsqu’il affirme que tous les cas de corruption et de fraude commis par les entreprises allemandes et dont il a eu à connaître par le passé, étaient dérisoires au regard des dommages colossaux que le scandale du Covid a causés et continue de causer à l’échelle planétaire.
Dr. Fuellmich est également l’un des quatre membres de la commission d’enquête allemande sur le coronavirus ou « Covid-19 », ce qui lui a permis de recueillir des informations de première main. 
Depuis le 10 juillet 2020, cette commission a entendu les témoignages d’un grand nombre de scientifiques et experts internationaux, pour tenter de répondre aux questions qu’un nombre croissant de personnes dans le monde se posent au sujet de la crise, scandale plutôt, du Covid. Notamment au sujet de la dangerosité du virus, de la signification réelle d’un test PCR positif, et des dommages collatéraux causés par la pandémie sur le plan de la santé et de l’économie mondiales.
Un collectif d’avocats s’est mis sur pied et les résultats des enquêtes menées au sein de la commission lui sont régulièrement fournis dans le cadre d’une entraide judiciaire pro bono. 
Les trois questions essentielles qui se posent d’entrée de jeu sont les suivantes, nous dit Dr. Fuellmich dans une vidéo mise en ligne sur sa chaine YouTube ainsi que dans une interview audio consultable sur le site The Whistleblower [le lanceur d’alerte] 
1- Existe-t-il une pandémie du Covid ou juste une pandémie des tests PCR ? Plus précisément, un résultat positif au test PCR signifie-t-il que la personne testée est infectée par le Covid-19, ou au contraire cela n’est-t-il absolument pas corrélé avec une infection quelconque? 
2- Les mesures dites anti-Covid telles que le confinement, les masques faciaux obligatoires, la distanciation sociale et la réglementation de la quarantaine, servent-elles vraiment à protéger la population mondiale contre le Covid ?
Ou ne sont-elles destinées qu’à faire paniquer les gens pour permettre à Big Pharma et aux géants du numérique d’engranger d’énormes profits, grâce à la vente des tests PCR, tests antigènes, anticorps et vaccins, pour ne rien dire de la récolte des données génétiques ?
 3- Est-il vrai que le gouvernement allemand ait fait l’objet d’un lobbying massif ? On sait que les principaux protagonistes de cette fausse pandémie: le Pr. Drosten, virologue à l’hôpital de la Charité à Berlin, le Pr. Wheeler, vétérinaire et chef de l’équivalent allemand du CDC (le RKI), et le Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur de l’Organisation mondiale de la santé ou OMS, ont tous les trois fait savoir que l’Allemagne était un pays particulièrement discipliné et qu’elle devait, à ce titre, servir de modèle au reste du monde par son respect strict des mesures anti-Covid et l’efficacité de sa lutte contre la pandémie.
Petit rappel historique des faits par Dr.Reiner Fuellmich pour aider à poser le problème :
En mai 2019, la CDU (le principal parti politique du gouvernement de coalition allemand) avait organisé un congrès sur la santé mondiale, apparemment à l’instigation d’acteurs importants de l’industrie pharmaceutique et du numérique, et avec la participation d’Angela Merkel et du ministre de la santé Jens Spahn. S’y trouvaient aussi, de manière inattendue, les Pr. Drosten et Wheeler, et le Dr. Tedros de l’OMS, qui prirent tous trois la parole.
Les principaux lobbyistes des deux plus grands Fonds de santé du monde, à savoir la Fondation Bill et Melinda Gates et le Welcome Trust, étaient également présents et intervinrent dans le débat.
Moins d’un an plus tard, c’étaient à ces mêmes personnes de prendre les devants pour proclamer une pandémie mondiale de corona. Elles organisèrent ensuite l’utilisation massive de tests de dépistage PCR afin de prouver l’existence de contaminations massives au Covid-19  à l’échelle mondiale. Et ce sont les mêmes trois compères qui font maintenant pression pour que des vaccins soient inventés et vendus mondialement.
Ces infections, il faut plutôt dire les résultats positifs des tests PCR, servent à leur tour de justification au confinement prolongé de la planète, à la distanciation sociale et aux masques faciaux obligatoires.
Il est important de noter que la définition du terme de pandémie avait été modifiée il y a 12 ans. Jusqu’alors, une pandémie s’entendait d’une maladie qui se propageait dans le monde entier et entraînait de nombreuses maladies graves et des décès. Soudain, et pour des raisons jamais expliquées, il suffisait qu’une maladie se propage dans le monde pour pouvoir déclarer une pandémie (comme la grippe, à la limite).
A la faveur de ce changement sémantique, l’OMS, qui entretient des rapports étroits avec l’industrie pharmaceutique, avait pu déclarer une pandémie de grippe porcine en 2009, avec pour résultat que des vaccins avaient été produits et vendus dans le monde entier, sur la base de marchés tenus secrets jusqu’à aujourd’hui.
Ces vaccins ont été au final totalement inutiles, la grippe porcine s’étant révélée être une grippe bénigne et non pas l’horrible fléau avec des millions de morts à la clef que les laboratoires et les universités qui leur sont affiliées ne cessaient d’annoncer.
Hélas, ces vaccins ont entraîné dans certains cas de graves problèmes de santé. En Europe, 700 enfants ont été atteints de maladies graves et incurables comme la narcolepsie, et sont maintenant handicapés à vie.
Déjà à l’époque de la grippe porcine, le virologue allemand Drosten était le responsable de la panique organisée. De manière sidérante, le voilà revenu à charge avec le Covid. C’est même lui qui a eu l’oreille du gouvernement allemand, à l’exclusion de tout autre, au point d’en arriver à imposer son test bidon à l’Allemagne et au monde entier.
Dans un 2ème article qui paraitra demain, d’autres révélations de Dr. Fuellmich seront présentées ainsi qu’une analyse d’ordre juridique et procédural, que le cadre de cet article ne permet pas d’insérer ici.

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