jeudi 29 octobre 2020

Non... Jamais Charlie !


L'avis de Jean-François Touzé

Un peu plus deux semaines après la décapitation de Samuel Paty par un fou d'Allah tchétchène qui aurait tout aussi bien être pakistanais, algérien, malien ou... Français au regard de notre droit du sol scélérat, et au moment où l'intelligentsia défend l'idée que les dessins de Charles Hebdo devraient être montrés à nos enfants dans le cadre d'une éducation civique qui, il est vrai, se réduit depuis longtemps aux seuls droits de l'homme, il convient de s'élever à la fois contre cette systématisation de la doxa libertaire et contre le lavage de cerveau que subissent les écoliers dès leur plus jeune âge.
Faire des dessinateurs et écrivaillons d'un journal qui, depuis sa création n'a cessé d'œuvrer contre tous les fondamentaux de notre nation — ses institutions, son armée, ses principes, ses valeurs, ses racines chrétiennes, ses héros a la gloire immarcescible — des maîtres et des icônes des libertés nationales c'est entériner, couronner même, la réussite du grand plan d'inversion de toute chose.
Moches, pas drôles, vulgaires, ringardes et inutilement insultantes, les caricatures de Charlie n'ont strictement rien a faire dans nos écoles qui doivent être le lieu de l'instruction, du savoir et du respect. Tout le contraire de ce que prônent les post-gauchistes de cet hebdomadaire qui exige pour lui la liberté d'expression mais combat depuis toujours les vraies libertés francaises. Nous, nationaux français, nous n'avons que mépris et hostilité pour ces scribouillards anarchistes et irresponsables. Le fait qu'ils aient été les malheureuses victimes en 2015 de la guerre de conquête de plus de mille ans qui nous est faite ne change rien à ce jugement.
Ce n'est pas par la provocation que l'on écrasera l'offensive islamique mais par une riposte d'Etat globale contre cette idéologie des ténèbres, ceux qui la servent et ceux qui s'en servent, menée avec dureté, brutalité et force, accompagnée de mesures de guerre et de lois d'exception dérogatoires aux principes du droit commun ainsi que par l'arrêt total de l'immigration et l'expulsion de toux ceux qui devront l'être.

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