La solution apparaît clairement : abattre la République et restaurer l’unité nationale derrière le Roi, garant des libertés. De cette crise, il nous faut tirer la certitude d’agir et de réclamer plus que jamais la destruction de la République.
Flinguer la République n’est pas l’exécution d’une passion nihiliste, c’est un service à rendre aux Français. Mettre à bas nos institutions n’est pas encourager le chaos mais ramener l’ordre.
La figure d’Antigone nous apprend que le pouvoir inique est toujours vecteur de désordre et que les lois supérieures de la cité impliquent de le refuser. Les matraquages des manifestants, de la Manif pour tous à la réforme des retraites, les Gilets jaune éborgnés, les morts inutiles de la mauvaise gestion du Coronavirus sont autant de raison d’agir contre la République.
Nous en appelons à une monarchie fédérative, populaire, de salut public.
Formons nos lignes. La monarchie n’arrivera ni sans une élite formée, ni avec des royalistes de salon. Il convient de faire disparaître la République aujourd’hui et de faire de la monarchie un véritable facteur de paix et de conquête sociale. Un régime n’a de valeur qu’au regard de son respect de la nature sociale de l’homme et de son efficacité dans la sphère publique et dans la défense des libertés particulières.
C’est la durée et la continuité de la politique royale qui a permis la constitution de notre nation.
Laissons le dernier mot à Maurras : « L’avenir se fait par des minorités pleines des énergies du cœur et de la raison. Les objections, les répugnances même, perdent toute signification dès que l’on a repris contact avec ce “nom oublié du Roi”. D’abord surpris de se réveiller royaliste, on s’étonne bientôt de ne pas l’avoir été de tout temps. »
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