Concernant la Maison Blanche, le Président apparemment battu, Donald Trump, s'accroche au pouvoir et multiplie les décisions contradictoires. On l'a comparé à une grosse tortue sur le dos. Quant au Président élu, Joe Biden, surnommé Pappy Chaos, il s'agit d'un quasi vieillard, à la limite de la débilité psychique, sans lignes politiques précises, sauf à se vouloir le représentant d'une Amérique industrielle en voie de disparition. En fait les intérêts politiques qui le soutiennent chercheront à contrôler les discours, censurer les informations, mettre la main sur les activités culturelles. Son fils est réputé comme profondément corrompu et pourra grâce à la position de son père accroître encore les profits illicites dont il a toujours vécu.
L'affaire des fraudes électorales à grande échelle ayant accompagné voire provoqué l'élection de Joe Biden, a montré par ailleurs que l'Amérique considérée jusqu'alors comme une démocratie relativement exemplaire, se révèle l'égale des dictatures « modérées » que l'on trouve par dizaines dans le monde et où les élections n'ont que l'apparence de la démocratie électorale dont les Etats européens sont des modèles.
Dans le domaine économique, les Etats-Unis accumulent actuellement les échecs. Le PIB stagne voire baisse dans certains domaines. La dette publique prend des proportions généralement qualifiées d'astronomiques et ne sera jamais remboursée, ceci au détriment de ceux qui jusqu'ici considéraient l'Etat américain comme un débiteur exemplaire. Ces difficultés sont aggravées par la crise due au coronavirus contre laquelle les Etats-Unis se montrent incapables de lutter efficacement, contrairement à la Chine, au Japon et à l'Europe. Il en résulte que le dollar en tant que monnaie de change internationale perd sans cesse des positions face au yen japonais et au yuhan chinois, voire face à l'euro.
Par ailleurs, l'Amérique jusqu'ici, d'ailleurs à tort, considérée comme un modèle de coexistence pacifique entre les Blancs, les Noirs et les Asiatiques, apparaît désormais comme un théâtre permanent de conflits, de plus en plus armés, provoqués par des structures s'étant arrogé sans débat la responsabilité de défendre les intérêts respectifs des Noirs et des Blancs. Dans plusieurs villes, certaines organisations, notamment les Antifas se réclamant d'un antifascisme sommaire, ont tourné au gangstérisme, pillant les commerces et rendant la vie difficile dans de nombreux quartiers pour les Blancs ayant le seul tort que de n'être pas être Blacks.
On fera valoir, non sans raisons, que l'Amérique restera gouvernée par ce que l'on nomme l'Etat profond ou complexe militaro-industriel. Mais sera-ce un bien ? Les représentants de celui-ci, chefs d'entreprises et haut-gradés, ont pris en main depuis quelques années tous les centres de décision, depuis le Parlement jusqu'à la Maison-Blanche, sans mentionner les grandes administrations fédérales et les principaux médias. Le Département de la Justice, le FBI, la CIA et une vingtaine d'autres agences de renseignement peuvent désormais surveiller hors de tout contrôle parlementaire les citoyens américains et leurs activités.
Sur le plan militaire, l'Etat profond a accumulé les échecs et les reculs, notamment au Moyen Orient face à un Bachar al-Assad président de la Syrie et soutenu par la Russie. Il en est de même en Amérique Latine et en Afrique. Même dans l'Union européenne, notamment en Allemagne et en France, Angela Merkel et Emmanuel Macron ont pris les décisions nécessaires pour construire une défense européenne pouvant désormais se passer du « soutien » de l'US Army.
C'est seulement dans le domaine spatial, militaire ou civil, que les Etats Unis ont jusqu'ici conservé une incontestable « full spatial dominance ». Mais la Chine multiplie actuellement les investissements et les projets destinés à leur disputer cette domination.
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