«Aujourd'hui, notre pays par la voix de son dirigeant (Emmanuel Macron NDLR) a cédé. C'est donc le début, je pense, d'une série de bateaux d'ONG», a estimé la présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale, accusant ces bateaux d'être «des complices des passeurs».
«Il faut que ces navires qui mettent en sécurité les migrants récupérés en mer les ramènent à leur port de départ», a-t-elle ajouté, estimant que le bateau aurait dû accoster à Tripoli (Libye) ou éventuellement en Tunisie.
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«Ce n'est absolument pas de la faute de l'Italie», a-t-elle enfin déclaré, indiquant qu'à la place de la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni, elle aurait pris la même décision de refuser d'accueillir le bateau humanitaire.
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