samedi 24 juin 2023

Violences antifas à Brest. La coordination « Partout Callac » dénonce « ces médias complices des gauchistes qui ont agressé la réunion d’Eric Zemmour »

 

L’extrême gauche, les antifas, accompagnés de membres de la NUPES et de la CGT ont attaqué la dédicace d’Eric Zemmour à Brest, samedi 17 juin 2023. Des jeunes, des personnes âgées, ont été frappées, des vitrines cassées, par des militants que la police a manifestement sciemment laissés s’approcher de l’hôtel où se tenait la dédicace.

De quoi interroger sur les ordres donnés par le Préfet du Finistère – quand on sait par exemple, qu’à Callac, lors des deux manifestations contre l’accueil de migrants, le Préfet des Côtes d’Armor avait pris avec succès toutes les mesures pour que l’extrême gauche ne puisse pas se confronter physiquement aux opposants.

Mais la réaction de la presse mainstream et local a suscité également pas mal d’interrogations, celle-ci laissant croire à ses lecteurs que les incidents du 17 juin émanaient des deux camps, alors qu’il y a bien eu des agresseurs et des agressés, et que les images et les témoignages recensés parlent d’eux mêmes.

La coordination « Partout Callac » dénonce d’ailleurs, dans un communiqué adressé à la presse, « ces médias complices des gauchistes qui ont agressé la réunion d’Eric Zemmour ». Ci-dessous le communiqué.

Une fois de plus, la violence de la gauche et de l’extrême gauche s’est exprimée, à Brest ce jour.

Cette fois, c’était pour agresser la réunion au cours de laquelle Eric Zemmour faisait signer son nouveau livre. Les victimes de ces violences ont été des personnes âgées et des adolescents. L’un d’eux a d’ailleurs été hospitalisé.

Un fois de plus la presse « bien-pensante » a montré sa lâcheté et son soutien sans faille à cette violence insupportable des antifas et de l’extrême gauche.

Ainsi, alors que l’hôtel où se passait dans le calme la séance de signature était attaqué par plusieurs centaines d’individus ultra-violents, voilà ce que dit la presse :

France bleu : « Après des invectives de part et d’autre, antifas et partisans de Zemmour en sont venus aux mains ».

Le Télégramme : « Manifestation contre la venue de Zemmour à Brest : échange de coups et vitrines cassées. »
Ouest France : « Dédicace mouvementée pour Eric Zemmour à Brest. Des heurts devant l’Hôtel Océania. »

La presse est donc incapable de décrire la réalité, à savoir qu’il s’agit de l’attaque d’un hôtel par une horde de plusieurs centaines d’individus antifas, LFI, CGT et autres. Cette presse ne cesse de dénoncer les violences imaginaires commises par la prétendue extrême droite, sans pouvoir citer un seul acte précis. Tout comme cette presse est toujours disponible pour salir les patriotes qui défendent leur pays et combattent notamment contre l’immigration totalement incontrôlée qui touche la France. En les dénonçant publiquement et nommément, tout comme elle n’hésite pas à les traduire devant les tribunaux lorsqu’ils répondent à des articles qui les ont traînés dans la boue.

Mais curieusement, lorsque les violences des antifas et de l’extrême gauche sont absolument visibles et incontestables, les mêmes journalistes semblent frappés de cécité totale. Ils n’arrivent pas à voir qui est l’agresseur et qui est l’agressé. La coordination Partout Callac condamne cette cécité sélective.

De même, la coordination Partout Callac, ne peut que s’étonner de la légèreté avec laquelle le préfet a traité la venue à Brest d’Eric Zemmour. Il n’y avait aucune force de l’ordre pour protéger l’hôtel où se faisait la séance de signature. Il a fallu que l’agression ait lieu pour que des policiers finissent par apparaître.

Qu’attend le préfet pour faire engager des poursuites contre les responsables de ces actes ?
Qu’attend le ministre de l’intérieur pour demander la dissolution des groupes antifas et d’extrême gauche identifiés lors de ces violences inadmissibles ?

Bernard GERMAIN
Porte-parole de la Coordination Partout Callac (www.partoutcallac.fr)

A noter que Damien Rieu, lanceur d’alerte, a visiblement identifié l’un des agresseurs

De nombreuses réactions politiques sont intervenues suite à ces violences…sauf à gauche, sauf du côté des autorités, comme si celles-ci jouaient la carte de la radicalisation, et de la violence.

Du côté de la gauche, celle-ci est fidèle à elle même

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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