Même Le Monde en convient…
Ainsi, le 31 décembre 2015, à Cologne, 1.500 personnes sont interpellées pour viols, tentatives de viol, harcèlements sexuels et autres violences avérées. Même Le Monde finit par admettre l’évidence : « Un millier d’hommes, décrits comme "essentiellement originaires d’Afrique du Nord et des pays arabes", ont fait régner toute la soirée sur la place et aux alentours une ambiance de violence, tirant des feux d’artifice contre la foule, certains se rendant coupables de vols et d’agressions sexuelles. [...] Comble du scandale : sur les dix-neuf suspects interpellés, dix sont des demandeurs d’asile. »
On aurait pu imaginer que, près de dix ans après les faits, le microcosme médiatico-politique aurait pu se rendre à l’évidence : ce n’était pas des Allemands en costume tyrolien qui, ivres de bière, auraient été violer des immigrées clandestines et voilées.
Quand les wokistes se prennent les pieds dans le tapis…
Mais le même microcosme persiste à raisonner en termes de « dominants/dominés », « racistes/racisés », tel qu’aujourd’hui expliqué en ces universités passées du statut de temple du savoir à celui de dépotoir. Compte là-dessus, Lulu, sachant qu’entre « racisés », on peut aussi se faire martyriser. Autrement, comment expliquer qu’un certain Nicolas Zohoun ait pu voir son humble pavillon ravagé par des squatteurs et des pillards ?
Le reportage réalisé par CNews est on ne peut plus poignant. « Au retour des vacances, Nicolas Zohoun tente en vain de rentrer chez lui. La serrure de sa porte a été forcée. » Les images valent mieux qu’un long discours. Sa cuisine ressemble désormais à un champ de ruines, tout comme le reste de son foyer. On lui a tout volé. Ses costumes, ses montres de collection, ses bagues, ses boutons de manchette ; et même sa collection de timbres. Les policiers qui l’accompagnent exigent alors des trois squatteurs de libérer les lieux, avant de les conduire au tribunal.
Libérés, les OQTF n’ont plus qu’à recommencer…
La sanction ? Cinq mois de prison avec sursis et l'interdiction d'entrer dans l'Essonne. Autant dire, rien. Ce, d’autant plus que la reconduction en leurs pays d’origine ne devrait pas être pour demain. Comble du comble, tous les crucifix et autres objets religieux du propriétaire ont été méticuleusement saccagés. Pourquoi ? On ne le saura peut-être jamais. Quoi qu’il en soit, l’homme dont la maison a été vandalisée a décidé de déménager.
Voilà qui devrait donner à réfléchir à « celles et ceux » (comme dirait l’autre) qui nous assuraient, il y a peu, que la France était gangrenée par le racisme, alors que les races (toujours à les en croire) n’existaient pas. Ces gens avaient un peu de retard à l’allumage, puisque nous assurant désormais que la « question raciale » était prédominante pour les « racistes » et les « racisés ». On peine à comprendre, Alexandre…
Surtout quand ce fait divers, malheureusement d’un genre de plus en plus récurrent, nous dit que la ligne de fracture se situe ailleurs : entre braves gens et voyous, quelle que soit la couleur de leurs épidermes respectifs. Mais il est vrai qu’il s’agit là d’une question des plus épidermiques, dira-t-on.
Nicolas Gauthier
https://www.bvoltaire.fr/squatte-et-depouille-par-des-oqtf-cest-ca-le-vivre-ensemble/
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