par Gilbert Guingant
Abondances de procurations ? Droits pléniers retrouvés de l’Assemblée nationale ? Droits d’inventaires remis à jour ? Innover et inventer ? Pas de thèmes qui seront oubliés ici. Accompagnés de solides argumentaires. Et avec problématiques fermement recadrées. Genre ? Jamais le Privé peut endetter les pays. C’est même tout l’inverse : c’est ce privé qui est très très endetté envers le Public. Il a beaucoup trop reçu de l’argent qui ne lui est pas destiné. Le Public doit retrouver ses billes. Seul le Public peut décemment diriger le monde. Pour le privé leur échéance est enfin venue…
1. Lorsqu’il obtient toujours l’inverse de ce qu’il voudrait ?
«Voudrait» puisque dans ses incohérences verbales (donc mentales ?) il reste impossible de deviner ce qu’il veut vraiment
– Contrer les extrêmes : au réel, il les renforce qu’une éblouissante réussite qu’aucun plan bien mitonné n’aurait jamais pu obtenir. Il reste le plus grand extrémiste !
– Frexit Barnier (négociateur en chef de l’UE pour le Brexit) dit ceci : Macron demeure le plus efficace pour le Frexit. Comment efficace ? il se vantait de vouloir une Europe qui supplanterait (voire supprimerait les pays). Résultats ? ses endettements intempestifs et si incompétents (ne servant illégalement qu’à trop enrichir les trop marginaux trop milliardaires) vont… pousser le pays à se séparer de l’Europe. Europe qui va trop loin, à travers l’insupportable Commission européenne. La France paie bien plus à l’Europe, bien plus que les autres pays (même l’Allemagne). Son intérêt doit être défendu = Frexit. Ce qu’aucun plan bien mitonné n’aurait jamais pu obtenir
– Ses incohérences criardes renforcent le désir de Paix sur Terre. L’usage insensé de l’antisémitisme qu’hypocrite alors que les sionistes commettent un génocide d’apartheid mondialement reconnu (chaque jour de nouveaux pays le reconnaissent à leur terreur). Ce va-t-en guerre exalté et brouillon fait perdre du terrain à la guerre. Ce qu’aucun plan bien mitonné n’aurait jamais pu obtenir
– il voulait ruiner la France en – sournoisement – l’endettant au maximum. Et ce contre plus de 80% de la population. Alors que 10% servirait de technostructure aux trop riches. Mais 10% jetable selon leurs puérils caprices irréalistes. Résultats ??? Dans ce pays ruiné les trop milliardaires ayant reçu une part si gigantesque de l’argent public en direct ne pourront survivre… Les infrastructures et la logistique ont «besoin» de 1ères et secondes lignes (au sens du confinement). Et ces trop riches ont perdu le sens collectif de réalités. Le concret, ils ne savent pas faire : juste son vain blabla. Oui ? Rien : à part et s’enfermer dans des «villes privées». Villes privées qui ressemblent si fort à des prisons. Prisons gardées de l’extérieur par les foules trop spoliées qui augmentent la pression… Résultats donc incroyables : il aura réussi à mettre les trop milliardaires en prison, ce qu’aucun plan bien mitonné n’aurait jamais pu obtenir.
Etc.
– nous prolongerons cette liste magique du tout se retourne contre lui. Les résultats finaux (si fins d‘intelligences, les finaux !) sont l’inverse de ce qu’il paraissait vouloir mordicus. Cette déjà immense parcelle dénudée de ces «possibles» enfin réalisés vont se poursuivre. Grâce à vous ?
2. Comment l’abandon de la dette va se passer ?
Pour le solide argumentaire commençons par «l’Alliance parlementaire contre macron» qui repousse tout à Septembre. Toute l’assemblée enfin groupée contre macron. L’extrémiste macron qui prétend lutter contre les extrêmes : donc contre lui-même ? Le Parlement si humilié très uni contre lui.
Poursuivons par le judicieux «droit d’inventaire». Tout comme des héritiers refusent des héritages, des politiques et leurs électeurs refusent l’extrême endettement macron, fait en solitaire, et dans le seul but de nuire au maximum au pays.
Déjà, la problématique se voit très fermement recadrée. Jamais le Privé peut endetter les pays. C’est même tout l’inverse : c’est ce privé qui est très endetté envers le Public. Il a beaucoup trop reçu de l’argent qui ne lui est pas destiné. Le Public doit retrouver ses billes. Seul le Public peut décemment diriger le monde. Le Privé, lui, n’est qu’un cancre immature qui vit aux crochets de l’argent Public. Jamais l‘inverse.
Les preuves se multiplient à foison contre ce Privé.
– Pendant 7 ans, les endetteurs auront laissé entasser endettements sur endettements sans jamais intervenir. Ils savaient mais n’ont pas alerté. Ils ont laissé la France seule face aux dangers, livrée à elle-même. Écrasantes responsabilités qu’ils ont fuies. Ce privé n’en sortira pas indemne. Trop d’injustices tuent l’injustice.
– Surtout que leur irruption inadéquate (en pleine dissolution… ce sont bien des intrus !) les auront marqués définitivement. Des «ingérences» prises la main dans le sac. Ce Privé avide vient… réclamer. Alors qu’il n’a pas le droit de réclamer. Réclamer comme une verrue en, plein nez. Sa crédibilité n’existe plus
– Ce qui permet de qualifier (en Justice)… de qualifier ces endetteurs comme «COMPLICES et membre actifs du trop de dettes». Leur crime économique est celui de concussion : entente illicite entre le macronisme et les endetteurs illégaux. Cela parle ? S’ils étaient du côté du Droit ils seraient intervenus depuis très longtemps. Et non comme des vautours aveugles qui se jettent sur la population… innocente à coups de chantages odieux. Leurs aveux précipités les confondent. Prises illégales de bénéfices entre autres…
– Ainsi, ils croyaient avoir donné un coup de massue, ils auront créé un grand coup d’assez… un grand coup de massés assez !
– ils ne sont experts en rien : le prétexte, le cache crime économique seraient leurs… incontournables expertises – la meilleure allocation des ressources communes – l’assurance qu’ils trouvent à chaque fois les meilleures solutions pour tous (personne n’est abandonné !!) – leur permanente préoccupation de l’intérêt général (personne n’est spolié) – leur désintéressement obligatoire avec leur fonctions centrales – etc. etc.
Or rien de tout ceci n’existe si, un jour, a même pu exister ! La seule expertise qu’ils exhibent bien trop est leur si monstrueux égoïsme qui les rend carrément inhumains… aucune envergure pour diriger les autres. Les spolier, ces autres, n’est sûrement pas une qualité. Leur mentir, trahir, tricher, triquer, falsifier encore moins. Conclusion : toute fonction Publique doit leur être barrée… Faute d’expertises, leur fonction arrachée illégalement n’est fondée sur rien… ils doivent partir !
Cette engeance maudite, les pires des maudits qu’eux, qui se sont glissés dans le privé juste pour ruiner le Public. Donc plus de 80% de la population qui en dépend… Ne sont-ils pas en train de refourguer la rengaine de… l’austérité, mais pas pour tous l’austérité. 7 ans l’austérité macroniste que pour les pauvres – les trop riches, eux, se sont trop enrichis en appauvrissant les appauvris pauvres…
Le droit d’inventaire rectifie… il n’y a pas vraie austérité si les trop riches n’y sont pas à 100% impliqués… sinon si pas l’austérité pour les trop enrichis… ce n’est que le pillage illégal des pauvres… par les trop riches.
Ce qui sonne très différent.
3. La cohabitation c’est Matignon qui dirige
Erreurs de mémoires partout : c’est bien le Gouvernement, et non le Président de la République, qui «détermine et conduit la politique de la nation» en période de cohabitation.
«Une lecture primo-ministérielle en période de cohabitation, au cours de laquelle c’est le chef du gouvernement, (soit le Premier ministre) soutenu par la majorité parlementaire dont il est issu, qui gouverne. Cette lecture primo-ministérielle correspond à une lecture littérale de la Constitution puisque le premier alinéa de son article 20 prévoit que c’est le gouvernement, et non le président de la République, qui «détermine et conduit la politique de la nation». En période de cohabitation, le centre de gravité du pouvoir se déplace donc de l’Élysée à Matignon. Cet affaiblissement de la primauté présidentielle ne signifie pas que le chef de l’État est dépossédé de tout pouvoir. Il dispose en toutes circonstances de ses pouvoirs propres, c’est-à-dire des pouvoirs dispensés de contreseing énumérés à l’article 19 de la Constitution (cf. «Quelle place la Constitution fait-elle au président de la République ?»). En outre, le rôle du président reste central dans certains domaines (Défense, Affaires étrangères ou Justice)… ». C’est son «domaine réservé» !
Ainsi la/le chef du Gouvernement peut exercer son «droit d’inventaire». En l’occurrence la remise en cause légale de la politique macroniste et des lois prises. Oui c’est possible. Très.
• Le billet politique – La délicate question du droit d’inventaire
«L’expression «droit d’inventaire», on la doit à Lionel Jospin. Candidat en 1995, pour incarner le renouveau, il doit alors absolument se démarquer du Mitterrandisme finissant. Lionel Jospin en meeting, le 13 avril 1995.
«Pourquoi n’aurions-nous pas collectivement le droit – et moi comme candidat à l’élection présidentielle – le droit d’inventaire ? N’est-ce pas cela l’attitude de la raison ?» Puisque ?
«À force d’immobilisme, à force d’éluder la réalité des faits, à force d’esquiver les défis, eh bien on l’a vu : la France gronde».
C’est vrai qu’il n’est jamais bon de rester totalement solidaire d’un pouvoir qui s’enfonce. L’exercice de l’inventaire a toujours un aspect dérangeant, souvent exercé par ceux qui furent les plus fidèles alliés. Il est toujours un peu curieux de voir les avocats d’hier se transformer en procureurs. Vous voyez à quel point la situation se retourne et devient très novatrice ? En puissance novatrice !
• Au sujet des dettes de la crise !
Fin de la crise des dettes ? La situation se retourne et devient très novatrice ? En effet et en effets …
Ils veulent nous faire croire que les dettes ne vont que dans une seule direction : celui des peuples payeurs et corvéables à merci. Or les dettes appartiennent 1000 fois plus aux endetteurs qu’aux endettés… «c’est toujours aux prêteurs de poser des limites, ce pourquoi l’irresponsabilité des cancres boursiers est complète. Ainsi, peut-on pointer qu’ils dégradent sans cesse leurs propres critères pour accroître le volume des prêts» (p.84 – Michaël Lewis – «Le casse du siècle», The big short septembre 2010)». Nous n’avons absolument pas à payer les conséquences de leurs incompétences. Voir notre série de textes «la Bourse rem-Bourse tout !!!»
Dans leur monde indiscutable (sic), les casseurs ne sont pas les payeurs, les innocents sont les coupables, les honnêtes gens les condamnés et les hyper délinquants les régnants, etc… Or, tout comme ce qui est déterminant c’est la position de la Terre par rapport au soleil et l’activité interne du soleil, c’est la globalité d’une situation (conséquences, causateurs, déclencheurs et dérèglement des phénomènes) qui détermine LES SOLUTIONS qui en découlent…
Les dettes ce ne sont pas les peuples, mais, conjointement, la finance mondiale et son grave délire maladif de «privatiser les bénéfices et nationaliser les pertes», ce sont leurs gouvernements larbins et tous les médias dominants…
Les dettes de la crise ce sont, d’enfin, les remettre à leur juste place… qui n’est certainement pas centrale !!! Mais très subalterne…
Depuis plus de 50 ans, ils ont causé la crise permanente – nous la résoudrons donc sans eux… ils auront été, à la fois,
… la dette et la crise, non ?
Le droit d’inventaire bien utilisé ? L’est vraiment à fond
À fonds retrouvés. Tous retrouvés !
source : Imagiter
https://reseauinternational.net/le-droit-dinventaire-en-cas-de-cohabitation/
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