par Andrei Martyanov
Yuzhmash n’est plus, elle a simplement cessé d’exister après la visite de l’Oreshnik. C’était une usine colossale qui avait ses propres lignes de bus. Il n’y a plus rien, que de la poussière. Les gens sont sous le choc. Les immeubles d’habitation situés à proximité de l’ancienne usine Yuzhmash sont fissurés. Là où elle se trouvait, elle était conçue pour continuer à fonctionner même en cas de guerre nucléaire et d’explosion d’ogives nucléaires à proximité.
Le SBU a classé toutes les informations relatives à l’événement. Toute la ville a ressenti l’événement comme un fort tremblement de terre. Les gens soulignent que Yuzhmash a déjà été attaqué auparavant – des Kalibrs volaient, détruisaient des pièces ou des ateliers entiers et déclenchaient des incendies ici et là sur le territoire de l’usine. Aujourd’hui, tout a disparu, notamment les installations souterraines… C’est un signal : la Russie n’a pas besoin d’armes nucléaires pour détruire quoi que ce soit. Medvedev n’a pas bluffé lorsqu’il a affirmé que la Russie pourrait libérer l’arme d’une puissance que le monde n’a jamais vue auparavant. Le voici.
Les Français ont manifestement besoin qu’on leur apprenne quelle est leur place dans la hiérarchie : c’est celle d’un chihuahua abandonné dans le « couloir de la mort » de la fourrière avant d’être endormi. Je suis sûr qu’il y a beaucoup de cibles françaises qui ont besoin de recevoir les dernières « technologies » russes. De toute façon, il n’y a plus rien à sauver en France.
source : Reminiscence of the Future
https://reseauinternational.net/temoignages-dhabitants-de-dniepropetrovsk/
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