Je radote depuis sept ans sur l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron.
Son entrée à l’Élysée est le fruit d’un coup d’État organisé d’abord par la haute fonction publique d’État socialiste qui a décidé de mettre fin à la fausse alternance droite-gauche en échec après les mandats Sarkozy et Hollande. Ce candidat sorti de nulle part a été proposé aux oligarques français qui l’ont adoubé. Le finançant, assurant sa promotion médiatique grâce au système qu’ils contrôlent totalement, et obtenant l’appui de l’appareil judiciaire pour parfaire le coup d’État.
Pour finaliser la décomposition néolibérale de la France, Emmanuel Macron a été leur fondé de pouvoir docile. Mais aveuglé par un narcissisme imbécile, le kéké du Touquet qui ne disposait pourtant d’aucune des aptitudes nécessaires, a pensé qu’il était autre chose, et pourquoi pas un Président de la République !
Cette prétention ridicule est devenue trop voyante. Obsédé par sa propre personne, Emmanuel Macron ne comprend rien à ce qui se passe dans son pays et dans le monde. Et installant une situation ingérable, en ridiculisant son pays et sa fonction, il multiplie les fautes politiques grossières.
Les études d’opinion nous disent que 65% des citoyens français, qui manifestement le détestent, souhaitent son départ. On dirait bien que ses commanditaires sont désormais aussi de cet avis.
La presse oligarchique a commencé le bombardement, avec le Monde de Xavier Niel préposé au premier barrage d’artillerie. L’identité des journalistes du «quotidien de référence» qui signent les articles sont connus pour n’intervenir en général qu’à la commande. Les ordres des vrais patrons ont donc été passés. Le reste de la presse suit. Et s’imaginer qu’il puisse exister des contradictions importantes entre les membres de cette hyper-classe transnationale est une fantaisie.
Il faut lire les papiers publiés qui tapent méthodiquement sous la ceinture. Ce n’est pas un signe encourageant pour Macron. Par exemple, pour la première fois dans la presse mainstream on avoue que Brigitte Macron a rencontré son futur mari, alors qu’il n’avait que 14 ans (!) et non pas 16. Cela n’a pas d’importance politique aujourd’hui, mais jette une lumière trouble sur la «Story telling» que l’on nous vend depuis des années.
Macron a affirmé qu’il ne démissionnerait pas. Le problème, c’est que ce n’est pas lui qui décide.
Ce sont ses employeurs.
source : Vu du Droit
https://reseauinternational.net/quand-les-oligarques-poussent-macron-vers-la-porte/
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