Il y a un affolement palpable avant l’investiture de Donald Trump. L’Ukraine, le Moyen-Orient, Taïwan, les rapports à l’énergie, au commerce, vont changer et les principaux pôles économiques semblent se préparer à une forme d’onde de choc. Mais en particulier dans le petit monde du transgenrisme qui a entendu le président élu expliquer qu’il allait mettre fin à cette folie très récente et revenir à la nature : deux genres seulement : garçon et fille. Il joue ce faisant sur du velours, la très grande majorité de la population occidentale lui emboîtant le pas. Terminé les parents 1 et 2, retour au père et à la mère, comme en Russie d’ailleurs, fin de cette ambiguïté sexuelle en forme de nouvelle qualité, fin des généraux américains en jupon, fin des sportifs hommes inscrits chez les femmes, fin des concours de miss avec des femmes nées hommes et ainsi de suite…
Et ça hurle donc à l’oppression des minorités. Mais on se demande qui est le vrai démocrate, celui qui défend la majorité, qui ne veut pas de cette folie transgenre, ou celui qui organise la dictature d’une minorité qui ne représente que moins de 1 % de la population et qui tient la vedette médiatique en permanence et fait plier les administrations ? Pour autant, ça hurle, mais ça se prépare, tel Disney, qui retire un personnage transgenre. Mais le producteur avait déjà commencé la marche arrière, imposer au public, contre son gré mais sous la menace des lobbies, la moitié des personnages issus des minorités, n’a pas été une bonne affaire commercialement et tout le monde a l’air de revenir à des postures plus classiques. Chez Jaguar, la voiture électrique rose accompagnée par des créatures au genre peu identifiable, a également été un gros bide et tout ce microcosme agité pourrait bien prendre du plomb dans l’aile avec l’arrivée de Trump et ses premières décisions concernant ce créneau hors-sol.
On va avoir d’un côté, les « méchants » qui veulent arrêter ce concept hors-sol très récent et les « bons » qui veulent proposer, en France, que le charcutage des organes génitaux et l’ablation des seins des adolescents soient gratuits, c’est à dire payés par nous tous, qui très majoritairement sommes contre. Point de contradiction là-dedans. On invente des concepts commerciaux adaptés aux adolescents qui leur permettent de changer de portable, changer de fringues, changer d’abonnement, vu qu’ils sont des girouettes, mais quand ils décident de changer de sexe, là par contre, c’est du solide : de qui se moque-t-on ? On évite ce faisant de parler des très grosses problématiques psychologiques et de la violence de ces opérations chirurgicales qui suivent et accompagnent ces changements physiques totalement contre nature et issus de fantasmes pervertis de quelques adultes psychopathes ayant pouvoir.
Trump « le dictateur », est appelé comme cela sans raison valable puisque c’est au contraire quasiment le seul président américain n’ayant pas engagé son pays dans la moindre guerre, à contrario de son prédécesseur, pompeux prix Noble de la paix, Obama, qui lui, n’a pas arrêté de bombarder… pour le bien de l’humanité évidemment. Ce « dictateur » pourrait être simplement quelqu’un de bon sens et si quelques unes de ses autres déclarations, sur le Canada ou le Groenland sont beaucoup plus sujettes à caution, celle sur le transgenrisme semble aller dans le bon sens et quelque part, s’il pouvait balayer cette propension que nous avons, en Europe, à verser dans la sexuation graveleuse des adolescents, pas grand monde ne s’en plaindrait…
Le groupe Telegram du RPF :
Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.
https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2024/12/27/trump-et-la-fin-du-wokisme/
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