La peur gouverne les esprits, la méthode Macroniste a été reprise par tous les partis ou presque et les instances Européennes, qui sous couvert de protéger la démocratie, qui est à géométrie très variable pour eux, et la vérité, n’hésitent pas à censurer et mentir. Ursula présente ouvertement son nouveau plan pour étouffer toute information qui n’entrerait pas dans les canons de la propagande européiste, considérée comme la seule ligne à suivre car vraie et à le toupet de l’appeler « bouclier démocratique », histoire de contrer ceux qui sont pêle-mêle taxés de pro-russes ou d’extrême droite.
C’est ainsi que toute idée divergente du discours officiel est systématiquement interprétée comme une menace, non comme une opinion autour de laquelle débattre. Pour cette clique, le débat est hors la loi dès qu’il remet en cause ce qu’ils ont décrété comme vérité inattaquable et intangible. L’ouverture d’esprit de ces gens est glaçante. Il condamne dans les faits ce qu’ils sont censés défendre, la liberté et surtout cette fameuse vérité. Ainsi l’Occident se démarque du reste du monde par sa propension au mensonge, dans l’unique but de conserver le pouvoir et de diriger des peuples ignorants et serviles à souhait. Mais que faire d’une telle masse de moutons ? La guerre ? Contre qui ? La Russie qui s’écroule voyons, ennemi désigné, qui pour le moment ne ressemble pas à l’image que tente désespérément de nous vendre une presse aux ordres et aux abois. Plus besoin d’un procès, d’un juge, un commissaire décide que tels propos sont illégaux, ou représentent une menace et la censure est immédiate.
La justice n’a plus son mot à dire, elle est remplacée par l’arbitraire d’une personne ou d’un groupe à qui il a été donné les pleins pouvoirs. Inutile qu’il y ait des preuves, la seule proclamation du motif de l’inculpation suffit pour que la sentence soit exécutive séance tenante. C’est l’Europe selon Davos et les maîtres globalistes. On se passe du parlement, des tribunaux, et bientôt on se dispensera de l’avis des peuples. Le bouclier démocratique qu’entend imposer Von-der-Leyen n’est rien d’autre qu’une forme d’arbitraire autoritaire qui consistera à déclarée nul le vote d’un peuple, dès lors qu’il déplaira à la Commission. L’ingérence étrangère étant le nouvel alibi massue contre lequel aucun recours n’est possible. Le plus indécent et choquant c’est de voir que cette Commission s’attribue cette prérogative sans aucun mandat reçu, ni la moindre concertation avec d’une part le Parlement Européen, ni même l’aval des nations, prouvant que les souverainetés n’ont plus droit de citer. Plus absolutisme que cette démarche est impossible. Nous arrivons au bout du processus de la dilution des États et de l’effacement des volontés populaires. Tout doit passer sous le prisme de la Commission européenne qui n’a plus rien à envier à l’ancien Soviet suprême : c’est donc cette organisation tyrannique qui est défendue par notre classe politique qui reste attachée à l’adhésion à ce machin dont la transparence fait défaut depuis longtemps et dont les vertus démocratiques ne sont qu’une illusion.
Pour ne pas dénoncer ces abus, l’ensemble de nos représentants, à contrario de ce qui s’entend en Allemagne, se fait le complice de cette nouvelle volonté d’asservissement. Pour quelle raison ? Duplicité quant à ses desseins réels ? Peur de se voir accuser de séparatisme d’avec cette alliance qui nous condamnerait financièrement à de lourdes amendes ? Manque de courage pour affronter cette engeance qui tire son pouvoir de la seule faiblesse des Nations à s’opposer à elle ? Il est plus que temps d’entendre nos oppositions se rebeller réellement et faire montre de plus de pugnacité face à ces gens qui vivent à nos crochets et qui sans l’obéissance aveugle et incompréhensible des gouvernements ne sont rien. Il est étonnant que nos politiciens n’aient toujours pas compris que c’était celui qui payait qui avait le pouvoir, non celui qui réclamait. Les sanctions financières n’ont du poids que lorsqu’elles sont acceptées et réglées. Si le principal contributeur cesse de verser sa cotisation, qu’adviendra-t-il de l’organisation ? Il est vrai qu’avec la bande d’incapables qui siège dans notre parlement nous ne prenons pas le chemin de ce bras de fer, puisqu’ils se sont empressés de voter une augmentation de notre contribution quand c’est l’inverse qu’il eut fallu faire, surtout au vu de la situation financière de notre pays. Serait-ce la preuve qu’ils nous mentent une fois de plus ? Ils se défendront de cette intelligence avec cet ennemi, prétextant l’obligation de se maintenir au sein de ce cartel pour être plus forts, alors que c’est bien le contraire qui se produit. Encore une fois la peur est agitée pour justifier cette misérable soumission, celle de sombrer, risible, nous sommes déjà au fond, ou l’isolement qui en découlerait ? Pour être rejeté par le reste du monde il suffit à Macron ou à ses brillants ministres des affaires étrangères de se déplacer pour être chassé de tous les pays avec lesquelles nous avions des accords de coopérations et des relations qui permettaient une certaine influence géopolitique. Le véritable drame c’est de croire que nous pouvons légiférer en tout domaine régalien alors que nous devons suivre les injonctions de Bruxelles et que notre marge de manœuvre est nulle tant que nous ne nous opposons pas fermement à la Commission européenne, quitte à débattre sérieusement du Frexit. Refuser ces évidences c’est s’assurer une suite calamiteuse en espérant simplement qu’un autre pays européen majeur décide de partir de cette organisation mafieuse pour qu’enfin les yeux s’ouvrent. Mais quel désespoir que d’attendre de l’extérieur une libération salutaire devant la couardise de nos dirigeants.
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Par Gilles La-Carbona : secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire
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