
Une fois de plus, une fois de trop, d’innocents citoyens français sont victimes du laxisme criminel des autorités françaises dans leur lutte contre le terrorisme.
Une fois de plus, une fois de trop, un OQTF ou un petit délinquant, trop souvent d’origine algérienne, hélas, suivi depuis des années parfois par les services de police pour « des faits pas trop graves de droit commun » ou pour radicalisation, après quelques brefs séjours en prison, passent à l’acte et tuent.
Pour nos ministres de l’Intérieur qui se succèdent : « Ce ne sont souvent que de petits délinquants, des dealers, qui se sont radicalisés et sont passés à l’acte. »
Quelquefois même quand il s’agit d’OQTF avec un casier long comme le Nil.
Déclarations plus que décevantes et souvent incompréhensibles, après de tels drames, dans la bouche d’un ministre ou d’un procureur.
Combien de dizaines de « petits délinquants » et d’OQTF passeront à l’acte au cours des prochaines semaines ?
Combien d’innocents seront assassinés ces prochaines semaines par de « petits délinquants « qui se sont radicalisés » ?
Dans les prochains mois, des dizaines de ces « petits délinquants », mais également des terroristes, sortiront de prisons, ayant purgé leur peine, ou plutôt la moitié de leur condamnation.
Combien, parmi eux, passeront à l’acte et nous assassineront ? Bien que « fichés » et connus des services de police.
Combien de familles françaises vont être plongées dans les larmes et les drames parce que nos dirigeants, ceux que nous avons choisis, que vous avez élus pour nous protéger, n’ont pas pris les mesures nécessaires pour assurer notre sécurité, n’ont pas pris leurs responsabilités ? Ou, comme c’est le cas actuellement, sont empêchés de le faire à cause du refus de les reprendre par leur pays de nationalité ou d’origine, par exemple l’Algérie, que le Président actuel considère avec une certaine bienveillance.
Et si ce n’était de la bienveillance, ce serait de la peur.
Peur qu’une large minorité de la communauté algérienne devienne violente et se mobilise pour détruire, incendier et agresser les forces de l’ordre. Mais, s’il s’agit de peur, comment comprendre qu’aucune mesure ne soit prise pour que cesse la progression de cette communauté dangereuse, bien au contraire ?
Les armes ne sont pas en vente libre dans notre pays mais ceux qui décident de nous assassiner et passent à l’acte savent où se les procurer : armes à feu, couteaux, véhicules, explosifs, etc., nous en avons quotidiennement de nouvelles preuves.
Ce n’est pas l’interdiction des armes qui mettra fin au terrorisme mais l’éloignement de ceux susceptibles de s’en servir.
Ceux pour qui une minorité de notre peuple, et même quelques députés, éprouvent de la compassion, pour ne pas dire de l’admiration !
Ne vous leurrez pas, il n’y a pas de déradicalisation possible pour ces « petits délinquants », même après un passage par la « case prison », d’autant plus qu’ils y vont de moins en moins.
C’est dès la première arrestation qu’il faut sévir et non pas attendre le prochain passage à l’acte.
Car alors il est trop tard pour ceux qui paient de leur vie « l’humanité » de certains !
Comment ne pas s’étonner du silence de la majorité de cette communauté algérienne, son désintéressement, peut-être apparent, devant la menace existentielle de la minorité radicalisée, violente, haineuse au service de leur pays d’origine ?
Manuel Gomez
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