Le 15 octobre 2012, Houria
Boutelja, porte parole du Parti des indigènes de la République,
comparaîtra devant la cour d’appel de Toulouse, sur appel formulé par le
Parquet et l’AGRIF (Alliance générale contre le racisme et pour le
respect de l’identité française), à la suite d’une relaxe qu’elle avait
obtenue du tribunal correctionnel de la même ville. En effet l’AGRIF
l’avait poursuivie pour « injure raciale » pour avoir employé, lors
d’une émission de télévision, le terme « souchiens » pour désigner les
Français de « souche ».
A l’heure où l’on parle beaucoup de « racisme anti-français », cette instance tombe à pic. On peut imaginer que Jean-François Copé et ses contradicteurs attendent avec intérêt la décision qui sera rendue par la cour d’appel. D’ici là, Michel Geoffroy, avec son style badin et incisif, incite les Européens de « souche » à reprendre la main et à se faire respecter.
Polémia
A l’heure où l’on parle beaucoup de « racisme anti-français », cette instance tombe à pic. On peut imaginer que Jean-François Copé et ses contradicteurs attendent avec intérêt la décision qui sera rendue par la cour d’appel. D’ici là, Michel Geoffroy, avec son style badin et incisif, incite les Européens de « souche » à reprendre la main et à se faire respecter.
Polémia
L’islam est une religion de paix et
d’amour et les musulmans démontrent d’ailleurs chaque jour leur
incontestable apport au progrès de la science, de la culture et des
mœurs. Forts de cet heureux exemple, nous devons donc, nous Européens de
souche, faire aussi respecter nos valeurs et notre identité dans
l’espace public.
Lorsque des enseignants blasphèment la
religion grecque, romaine, celte ou chrétienne, ou lorsqu’ils insultent
la mémoire de nos ancêtres devant nos enfants, nous devons leur
manifester fermement notre réprobation à la sortie de la classe. Nous
devons aussi inciter nos enfants à contester en classe les affirmations
de ces mauvais maîtres afin d’éclairer ces derniers sur leur attitude
d’exclusion à notre égard. Nous devons faire en sorte que l’étude de
textes ou d’auteurs qui donnent une image dégradante de notre identité,
de notre culture et de notre histoire soit proscrite. Nous devons aussi
agir auprès des éditeurs et producteurs pour que les ouvrages scolaires
et, d’une façon générale, les œuvres destinées à la diffusion ne
comportent pas de propos insultants ou des stéréotypes dévalorisants à
l’encontre des Européens de souche.
Lorsque des hommes de culture, des
médias ou des politiciens critiquent ou se moquent de nos valeurs, de
notre religion, de notre clergé ou de notre histoire, nous devons leur
manifester notre réprobation. Les films qui salissent notre religion ou
la mémoire de nos pères, ainsi que ceux qui les produisent et les
diffusent, doivent être boycottés. Nous devrons aussi veiller à ce que,
dans les productions audiovisuelles, le rôle du méchant ne soit pas
systématiquement tenu par des Européens de souche.
Nous devons exiger que les élus, les
médias et les commerces saluent nos fêtes religieuses : par exemple, que
la Ville de Paris organise une soirée musicale pour fêter la fin du
carême. Nous souhaitons aussi que Noël soit dignement célébré comme une
grande fête européenne et que des sapins décorent les lieux recevant du
public et les écoles.
Nous souhaitons que les collectivités
publiques financent nos associations culturelles et favorisent, par
exemple par la cession gratuite de terrains à bâtir, la construction de
nouvelles églises, de nouveaux monastères et presbytères. Nous
souhaitons aussi qu’elles encouragent la formation de nos prêtres.
Nous souhaitons que nos lieux de culte
et nos sépultures soient protégés de toute dégradation et fassent
l’objet d’une protection adéquate. Nous ne souhaitons pas que ceux qui
ne partagent pas notre foi puissent accéder à nos églises ou nos
temples, a fortiori si leur tenue n’est pas décente ni conforme à nos
usages.
Lorsque nos compatriotes français de
souche sont victimes de violences ou d’accidents graves, nous souhaitons
que les pouvoirs publics leur manifestent leur sollicitude et leur
soutien : et que, par exemple, le président de la République se déplace
pour les réconforter personnellement ainsi que leurs familles.
Nous voulons aussi que, lorsqu’un de nos
compatriotes commet un délit, ce qui est bien sûr extrêmement rare, les
pouvoirs publics veillent à ne faire aucun amalgame avec le reste des
Européens de souche, qui sont foncièrement tolérants, ouverts aux
autres, travailleurs, respectueux des lois et pacifiques. Nous devons
aussi manifester notre soutien à ceux d’entre nous qui sont interpellés
par les forces de l’ordre, afin de les aider psychologiquement et de
prévenir toute injustice.
Nous voulons également que les forces de
l’ordre ne contrôlent pas systématiquement les Français de souche,
comme elles le font trop souvent. Nous souhaitons que les services de
sécurité, publics ou privés, soient composés d’Européens de souche
lorsqu’ils sont appelés à intervenir dans une zone où nous résidons ou
que nous fréquentons. Nous souhaitons que ces interventions soient
cependant les plus rares possibles.
Nous voulons que notre langue, qui est
la manifestation de notre identité et dans laquelle les plus grands
chefs-d’œuvre universels de notre culture ont été rédigés, soit
enseignée et respectée : nous voulons qu’elle soit correctement
enseignée dans nos écoles et que son mauvais usage, en particulier dans
les médias, soit sanctionné. Nous souhaitons de même que l’enseignement
des humanités soit rétabli.
Nous devons exiger que les principes de
notre religion soient respectés dans la vie courante : nous voulons que
les boucheries certifient que la viande qui nous est vendue n’a pas fait
l’objet d’un abattage rituel et que les animaux n’ont pas souffert
inutilement ; que les cantines servent régulièrement du porc ou du
cheval et permettent de manger du poisson le vendredi ; ou que l’on
serve aussi des repas avec du porc à bord des avions et des trains
grandes lignes. Nous devons aussi bénéficier d’aménagements d’horaires
en période de carême, ainsi que du report, durant cette période, des
séances des tribunaux et des événements sportifs.
De même nous ne voulons pas d’une
représentation dégradée de la personne humaine alors que Dieu a fait
l’homme à son image, ni qu’une présentation impudique de la féminité
nous soit imposée dans l’espace public au nom du prétendu art
contemporain ou de la publicité.
Nous souhaitons pouvoir être accompagnés
de nos femmes et de nos filles lorsque nous nous rendons dans un lieu
public, un établissement sportif ou dans une piscine.
Nous revendiquons aussi le droit de
porter en tout lieu notre tenue traditionnelle : que les hommes puissent
porter veste et cravate et que les femmes puissent mettre des robes,
des jupes ou des manteaux de fourrure, sans se faire insulter ou
agresser.
Nous souhaitons aussi, afin de prévenir
toute discrimination à notre encontre et de favoriser une heureuse
diversité, que des quotas d’emplois soient réservés aux Européens de
souche dans toutes les professions, en particulier dans les services à
la personne. De même pour l’accès au logement social, aux classes
préparatoires aux grandes écoles et aux bourses d’enseignement. Les
grandes entreprises doivent financer aussi des fondations destinées à
favoriser notre promotion sociale et notre formation.
Une législation adaptée doit censurer
les propos et les comportements portant atteinte à notre image, à notre
histoire, à nos valeurs, à notre religion et à notre identité.
L’europhobie et la francophobie doivent être proscrites comme toute
incitation à la haine et à la discrimination. Les campagnes de
repentance portant uniquement sur des actes reprochés aux seuls
Européens doivent aussi cesser pour cette raison. Au contraire, les
hauts faits et les accomplissements de notre culture doivent être
célébrés, comme est célébré l’apport des allogènes à l’identité
européenne.
Si nous pratiquons de la sorte, et si
bien sûr nous avons beaucoup d’enfants, non seulement nous assurerons la
promotion de nos valeurs et de l’identité européenne dans la société,
mais nous sommes sûrs de bénéficier également de la bienveillante
attention des autorités !
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