“Nourrie
aux subventions et dons divers, SOS racisme perçut en 2010, 579 000 €
de subventions auxquels s’ajoutent les dons à hauteur de 100 000 € pour
Pierre Bergé, 72 000 € pour la Fondation Ford et, le bouquet, 348 000 €
en 2009 pour le FASILD, association dédiée à l’accueil des migrants qui
elle-même vit de subventions… Sans parler des fonds spéciaux du Premier
ministre mobilisés pour sauver SOS racisme de la banqueroute. On vous
épargnera les détails des démêlés judiciaires, les perquisitions, les
fausses factures (affaire C.Discount), les ventes de tableaux à SOS
racisme, les gardes à vue, l’intervention de la Bri- gade financière et
autres épisodes crapoteux. Pour simplifier, c’est 98% de ses ressources
qui pro- viennent de subventions et de dons tandis que les cotisations
n’en représentent que 2%.
En
somme, il est demandé aux Français de payer toujours davantage pour se
faire soupçonner de racisme et insulter par une organisation qui n’est
qu’une, mais non la moindre, courroie de trans- mission du Parti
socialiste destinée à recycler des trotskistes en recherche d’emploi, si
possible pres-tigieux. La preuve ? Jean-Philippe (Harlem) Désir, promu
aux fonctions de secrétaire général du parti en question dont l’ancien
locataire est devenu… Président de la république. Le tremplin semble
puissant, c’est le moins qu’on puisse dire. Il n’est que temps de
dissoudre cette coûteuse officine hostile à la France française. ” Lire le tract dans son intégralité.
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