La récente libération de deux activistes des « Pussy Riot » a remis ce groupe antichrétien à l’honneur dans les médias, au point de mériter un communiqué officiel du parti socialiste.
Bien peu de journalistes prennent hélas
la peine de rappeler qui sont ces jeunes femmes qui avaient été
condamnées à Moscou pour « hooliganisme et incitation à la haine
religieuse ». Tous les médias s’entendent pour les rendre sympathiques
et pour minimiser leurs méfaits.
Les journalistes se limitent à les
présenter comme des opposantes au président Vladimir Poutine, parlent
généralement d’une « prière punk » chantée dans la cathédrale de Moscou
et réduisent les images à quelques simagrées de ces femmes encagoulées
envahissant la cathédrale du Christ-Sauveur pour y parodier des prières.
Rien de bien méchant pour le commun des téléspectateurs.
A ce sujet, il convient déjà de préciser
que les paroles qu’elles ont chantées ce jour-là n’étaient pas que
politiques, loin s’en faut, mais clairement blasphématoires, insultantes
pour le Christ et la Sainte Vierge. Rien de surprenant quand on cherche
à en savoir plus sur ces jeunes femmes.
Les Pussy Riot formaient un
groupe musical étroitement lié au mouvement anarchiste VOINA (qui
signifie « la guerre » en russe). Outre les violences commises à
l’encontre des forces de police russes (la nuit venue, leur spécialité
consistait à renverser les voitures de police), ce mouvement organisait
régulièrement des actions antichrétiennes ainsi que de la débauche
sexuelle publique.
Organisation de débauche sexuelle
Nadezhda Tolokonnikova, l’une des trois
jeunes femmes aujourd’hui mondialement médiatisées participa
précédemment et alors qu’elle était enceinte à une orgie sexuelle
publique que le mouvement anarchiste VOINA avait organisé
illégalement dans un musée moscovite.
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