Il était déjà surprenant de constater le silence des médias assourdissant devant un scandale de détournement de fonds publics pour financer la campagne d’Emmanuel Macron.
Et pourtant, ce n’est pas tout. En creusant davantage, de nouvelles affaires compromettantes et à peine dévoilées par la presse ressortent. Le leader du mouvement « En marche ! » a par exemple refusé de dévoiler la liste de ses donateurs (source) et la raison semble plutôt évidente.
Lors d’un déplacement à Londres, il aurait levé plus de 10 millions de livres sterling à Londres à l’occasion d’un dîner organisé par un cadre de Goldman Sachs (source). Cela pose un problème de taille.
La banque d’affaires Goldman Sachs illustre à elle-seule toutes les dérives et excès de la spéculation financière. Elle s’est notamment fait connaître après avoir engrangé des milliards de dollars en misant sur la faillite personnelle des ménages pendant la crise des subprimes.
Autre exemple frappant, la banque d’affaires a également parié contre la monnaie unique après avoir maquillé les comptes de la Grèce.
Son objectif aujourd’hui est de placer le maximum de personnalités de son réseau au sein des administrations de Bruxelles.
La banque a ainsi recruté Manuel Barroso qui a été pendant 10 ans président de la Commission européenne.
Son embauche avait provoqué une vive polémique, des interrogations sur une étroite relation entre ce haut responsable politique européen et la banque d’affaires avant son entrée chez Goldman Sachs avaient été émises.
Aujourd’hui, elle semble avoir trouvé en l’ancien banquier de Rotschild devenu millionnaire après avoir aidé le suisse Nestlé à racheter une branche de Pfizer aux dépens du français Danone, son candidat idéal.
Il faudra certainement se tourner vers les médias étrangers pour être informé sur les réelles intentions d’Emmanuel Macron et ses véritables soutiens envers qui il sera redevable.
D’ailleurs, le lanceur d’alerte Julian Assange a affirmé à des médias russes qu’il détenait des informations très compromettantes sur le jeune candidat qu’il aurait recueillies dans les mails d’Hillary Clinton. Les deux personnalités politiques seraient en effet très proches et, drôle de coïncidence, la candidate déchue à la présidentielle américaine est souvent critiquée pour sa proximité très étroite avec Goldman Sachs.
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