Liste des 50 premières personnalités (responsables politiques, associatifs, éditeurs, écrivains, journalistes...) signataires de cet appel :
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, initiateur de l'appel contre la menace de dissolution du Bastion social
Yves Baeckeroot, écrivain
Francis Bergeron, directeur de Présent
Caroline-Christa Bernard, artiste
Jean-Pierre Blanchard, pasteur
Christian Bouchet, enseignant, éditeur (Ars Magna)
Hugues Bouchu, les Amis franciliens de SN
Paule Bouvard, secrétaire départementale des CCP du Gard
Anne Brassié, écrivain
Les Brigandes, groupe musical non-conformiste
Pierre Cassen, Président fondateur de Riposte laïque
Lucien Cerise, écrivain, chercheur en sciences sociales
Jacques Chassaing, collaborateur au site Riposte laïque
François de Chassey, écrivain
Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, écrivain, président des Amis de Synthèse nationale
Roland Curtet, responsable du MNR
Jean-Pierre Demol, secrétaire de Nation (Belgique)
Claudine Dupont-Tingaud, présidente du club quimpérois Agir et réagir
Xavier Eman, essayiste, romancier, animateur de Paris-Vox
Georges Feltin-Tracol, éditorialiste de Réfléchir et agir
Jean-Eudes Gannat, porte-parole de Alvarium
Nicolas Gauthier, journaliste
Patrick Gofman, essayiste
Hubert de Mesmay, ancien conseiller régional PACA
Françoise Monestier, journaliste
Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France
Patrick Junca, ancien responsable identitaire
Pieter Kerstens, chef d'entreprise
Jean-Marie Le Pen, député européen, président d'honneur du Front national
Christophe Lespagnon (Dr Merlin), artiste
Juan Antonio Llopart, édition Fides (Barcelonne)
Claudio Mutti, directeur d’Eurasia, éditeur (Parme, Italie)
Patrick Parment, Le Journal du chaos
James Porazzo, éditeur (New-York)
Arnaud Raffard de Brienne, essayiste
Philippe Randa, écrivain, éditeur, directeur d’Eurolibertés
Olivier Roudier, porte-parole Ligue du Midi
Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi
Marc Rousset, chef d'entreprise, chroniqueur économique
Lorrain de Saint Affrique, secrétaire général des Comités Jeanne
Yannick Sauveur, écrivain
Luc Sommeyre, blog Minurne
Jacques Soulis, président du Cercle poitevin des Chats bottés
Robert Spieler, ancien député, chroniqueur à Rivarol
Christine Tasin, Présidente de Résistance républicaine
Rémi Tremblay, directeur du Harfang (Canada)
Hervé Van Laethem, porte-parole de Nation (Belgique)
David Veysseyre, essayiste
Pierre Vial, président de Terre & peuple
Marc Vidal, libraire
Marie-Jeanne Vincent, déléguée du PdF du Calaisis.
Une nouvelle liste de signataires sera rendue publique au milieu de la semaine prochaine.
TEXTE DE L'APPEL :
NON À LA DISSOLUTION DU BASTION SOCIAL
UN APPEL AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
Le 16 février, un militant islamiste insulte l'écrivain Alain Finkielkraut. Le 20 février, au dîner du Crif, Emmanuel Macron annonce aux présents qu'il va, en conséquence, dissoudre le Bastion social, une organisation, habituellement considérée comme nationaliste révolutionnaire, qui consacre la majeure partie de ses activités à la défense de la culture européenne et à l'aide des SDF français.
On pourrait sourire de l'inconséquence de la décision du Président de la République française si elle n'était pas, en même temps, injuste, partisane et gravement attentatoire aux libertés démocratiques essentielles.
- Injuste, car aucun juriste sensé ne peut trouver dans les activités du Bastion social (ouverture de lieux communautaires, maraudes de soutien aux SDF, nettoyages de parcs, etc.) l'ombre du commencement d'une preuve que ce mouvement prône la violence et l'antisémitisme.
- Partisane, car on ne peut que remarquer qu'alors qu'on veut faire dissoudre le Bastion social pour des faits et des idées qu'il ne prône pas, les groupuscules zadistes et antifas qui de manière récurrente s'en prennent aux forces de l'ordre et aux biens tant publics que privés avec une violence qu'ils revendiquent sans honte ne sont sous le coup d'aucune menace de dissolution.
- Gravement attentatoire aux libertés démocratiques essentielles car elle remet en cause le droit a s'associer, ainsi que celui à exprimer leurs idées, de ceux qui ont le tort de professer des pensées et des comportement dissidents.
Les signataires, qui ne partagent pas forcément les idées du Bastion social sur de nombreux points, s'inquiètent de ce lynchage démocratique d'une association qui n'a comme réel tort que d'aimer son peuple et sa patrie et demandent au Président de la République de revenir sur ses intentions (1).
(1) - A la date de la rédaction de ce texte le Bastion social n'a pas encore été dissout.
Cet appel s'adresse à tous...
Vous aussi, rejoignez les signataires, cliquez ici ou écrivez à roland.helie@sfr.fr ou imprimez et retournez ce bulletin cliquez là
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