lundi 30 novembre 2020

Synthèse des procédures pour fraude électorale aux Etats-Unis

 

Synthèse des procédures pour fraude électorale aux Etats-Unis

Jeanne Smits a traduit un article de Steve Mosher publié vendredi par LifeSiteNews, synthèse des procédures en cours pour fraude électorale. Extraits :

Après un lent démarrage, l’équipe juridique de Trump est maintenant bel et bien lancée, et elle entend démontrer que l’élection du 3 novembre a vraiment été remportée par son homme.

En Pennsylvanie, une juge courageuse a stoppé la certification des résultats tant qu’elle examinera les preuves de la fraude. Elle voudra peut-être poser cette question au secrétaire d’État démocrate : si seulement 1,8 million de bulletins de vote par voie postale ont été demandés, comment est-il possible que vous en ayez reçu 2,5 millions par la poste ?

Dans le Wisconsin, un juge examine une requête visant à rejeter 150 000 bulletins de vote potentiellement frauduleux. Cet effort est mené par Phil Kline du projet Amistad. Les pro-vie se souviendront des efforts déployés depuis des années par le procureur général du Kansas, Phil Kline, pour dénoncer les avortements tardifs et poursuivre le Planning familial dans cet État il y a quelques années.

En Géorgie et au Michigan, le procureur préféré des Américains, Sidney Powell, a lâché le Kraken. Ses deux poursuites sont remplies d’exemples choquants de fraude électorale sur plus de cent pages chacune, et elles s’accompagnent d’une pléthore de déclarations sous serment.

Quelques-unes de mes escroqueries « préférées » :

En Géorgie, au moins 96.600 bulletins de vote par correspondance ont été demandés et comptés, mais rien n’indique qu’ils aient été effectivement renvoyés aux commissions électorales des comtés par l’électeur. Ont-ils été créés en interne par des agents démocrates ?

Toujours en Géorgie, « les 900 bulletins de vote militaires du comté de Fulton étaient à 100 % pour Joe Biden ». Essayez donc de tirer à pile ou face et d’avoir « pile » 900 fois de suite.

À Detroit, il y a eu plus de votes que de personnes en âge de voter, ce qui semble peu probable à première vue.  De plus, des témoins oculaires ont rapporté que les compteurs de votes avaient pour instruction de « dater » les bulletins de vote par correspondance et qu’ils « réécrivaient » les votes Trump pour en faire des votes pour Joe Biden.

Au Nevada, un juge vient d’autoriser l’équipe Trump à présenter des preuves de fraude électorale généralisée ; l’audience aura lieu le 3 décembre.  Il s’agira notamment d’éléments tendant à prouver que 13.372 « électeurs fantômes » qui ne connaissaient pas leur date de naissance ni même leur sexe lorsqu’ils se sont inscrits, et qui ont souvent indiqué les casinos et les parcs de loisirs comme adresse de résidence. C’est pour le moins douteux.

Enfin, pour ce qui est de la fraude électorale électronique, voici ce que dit l’un des plus grands experts américains en matière de cybersécurité, cité dans le procès mené par Powell en Géorgie :

L’expert Navid Keshavarez-Nia explique que les services de renseignements américains ont développé des outils pour infiltrer les systèmes de vote étrangers, dont Dominion. Il déclare que le logiciel de Dominion est vulnérable à la manipulation de données par des moyens non autorisés et a permis de modifier les données électorales dans tous les États clefs. Il en conclut que des centaines de milliers de votes qui ont été exprimés pour le président Trump lors de l’élection générale de 2020 ont été transférés à l’ancien vice-président Biden. (Pièce 26).

Tout cela signifie que la mascarade post-électorale voulant que le candidat démocrate ait remporté l’élection est sur le point d’être balayée par un tsunami massif de preuves de fraude électorale. […]

Il semble que les actions du « président élu » Biden aient quelque chose d’étrangement irréel. Il continue d’annoncer ses choix en vue de son futur cabinet, et les grands médias rapportent chacun de ses gestes, mais de moins en moins de gens semblent y prêter attention.  Son discours de Thanksgiving n’a été suivi que par 1.000 personnes, ce qui semble bien dérisoire pour quelqu’un qui, selon les médias, a obtenu 80 millions de voix.

Même sa propre « vice-présidente élue », Kamala Harris, n’a pas encore démissionné de son siège au Sénat : ce n’est pas le comportement de quelqu’un qui croit que, le 20 janvier prochain, elle prêtera effectivement serment en tant que vice-présidente. […]

Dans une vidéo, l’historien Edouard Husson revient en détails sur les dernières avancées des avocats de Trump pour prouver la fraude électorale du camp Biden. Deux scénarios sont possibles :

  • Ou bien la justice américaine prend son temps, Biden est donc élu par le collège électorale américain et investi le 20 janvier 2021, mais la justice finira par aboutir et à reconnaître la fraude électorale. Alors, Biden sera destitué et connaîtra un sort à la Nixon.
  • Ou bien la justice et les avocats de Trump parviennent rapidement à prouver la fraude électorale, et alors Trump débutera un second mandat dès le 20 janvier prochain.


https://www.lesalonbeige.fr/synthese-des-procedures-pour-fraude-electorale-aux-etats-unis/

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