Bernard Germain
Le media « ActuValdeMarne », nous apprend que : « Ce vendredi 21 octobre 2022, un homme a tenté de violer trois femmes, dont une magistrate, aux abords du tribunal judiciaire de Créteil (Val-de-Marne).»
Ce journal indique en complément : « C’est aux alentours de 11 heures, rue Ambroise Paré, que les faits ont commencé. Deux femmes sont agressées par un homme. Ce dernier aurait crié « je vais te violer ! ». Une troisième femme intervient et se fait agresser à son tour. Il s’agit d’une magistrate travaillant au tribunal de Créteil situé à quelques mètres de là. L’agresseur lui aurait arraché ses vêtements et aurait également crié qu’il voulait la violer.
Face à son agresseur, la victime se débat. Des passants, alertés par les cris, interviennent et permettent l’interpellation de l’individu. Les policiers arrivent sur la place et la victime est prise en charge par les sapeurs-pompiers. En état de choc, elle souffrirait également de blessures au coude et au genou. L’agresseur a de son côté été placé en garde à vue. Selon une source proche du dossier, il faisait l’objet d’une Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF) depuis quelques semaines. Le procureur de la République de Créteil se serait rendu sur place.»
Voilà pour les faits.
Reste une question des plus intéressantes … que va faire cette magistrate lorsqu’elle sera remise de cette agression et jugera de nouveau des faits semblables ?
Va-telle continuer d’exercer son métier en trouvant quasi systématiquement des circonstances atténuantes aux agresseurs, comme on le voit régulièrement dans les jugements rendus par les tribunaux pour des affaires de ce type ?
Rappelons que dans de multiples affaires, même de meurtres, mettant en cause des clandestins dont certains sont frappés d’une OQTF, les dits magistrats sont habituellement d’une mansuétude stupéfiante pour les accusés. Ce qui révolte à juste titre les français victimes quotidiennement de faits similaires. Ce que chacun sait, mais est soigneusement caché par les bien-pensants et la quasi totalité des médias.
Ces OQTF sont une conséquence de la dépénalisation du délit d’être un « immigré clandestin », mesure décidée par François Hollande. Depuis cette dépénalisation, seule un infime pourcentage est appliqué puisqu’on demande au clandestin concerné de « bien vouloir » quitter le territoire national sous 30 jours, ce qu’évidemment il ne fait pas. Et lorsqu’il se fait reprendre, une nouvelle OQTF est décidée qu’il ne respecte pas plus.
Cette histoire de tentative de viol d’une magistrate me rappelle Coralie Dubost, célèbre député LREM, qui répétait en boucle sur les plateaux télé qu’il n’y avait pas d’insécurité en France, mais une « sentiment d’insécurité ».
Jusqu’au jour d’octobre 2021 où, sortant d’un restaurant chic du VII° arrondissement de Paris, elle fut victime avec son compagnon d’une agression de racailles. Ils furent dépouillés, elle de ses colliers et bijoux, lui de sa montre Rolex à 12.000€, ainsi que de leurs cartes bleues et reçurent en prime quelques orrions qui furent visibles un certain temps sur le visage de cette député.
A compter de ce jour, elle ne parla plus de « sentiment d’insécurité ».
Confrontée à la brutale réalité de la « vraie vie », celle que subissent chaque jour nos concitoyens, la député est revenue sur terre et a nettement changé de discours.
Il serait bon que cette magistrate, elle aussi confrontée à la « vraie vie », en tire les leçons et rende la justice en n’excusant pas quasi systématiquement les agresseurs en leur trouvant moultes excuses, surtout s’ils sont « clandestins ».
Cette juge pourrait peut-être aussi en parler à ses collègues afin qu’eux aussi redescendent sur terre et jugent en appliquant les textes, sans se faire plus souvent qu’à leur tour, les tenants d’une culture de l’excuse permanente.
Elle pourrait même en parler à son ministre, garde des sceaux, qui sur le sujet n’a pas simplement quitté la terre mais est déjà arrivé sur la Lune ou sur Mars.
Le résultat de cette politique de l’excuse, doublée d’un laxisme coupable, est terrible. Sa dernière victime s’appelle Lola, massacrée dans des conditions abominables, par une immigrée clandestine frappée d’une OQTF dont elle n’avait, elle aussi, que faire.
L’une des missions fondamentales de l’État est de protéger ses citoyens. C’est pour cela qu’il dispose du monopole de la force légitime et est doté de tribunaux dont la mission est de faire respecter les Lois.
Au lieu de se ressaisir devant ces faits terribles, nos gouvernants et tous les bien pensants, c’est à dire les vrais responsables de ces situations plus dramatiques les une que les autres, ne savent que condamner ceux qui dénoncent cette situation en les accusant de faire de la « récupération ».
Que ces gens au pouvoir ne s’étonnent pas si les citoyens, lassés de se faire voler, violer, frapper ou massacrer, finissent par se révolter et se mettent à se faire justice eux-mêmes puisque l’État ne joue pas son rôle, n’assume pas ses responsabilités et au final ne les protège pas.
Qui sème le vent récolte la tempête …
Ils devraient tous bien méditer cela !
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