vendredi 19 mai 2023

Saint-Brevin : le seul responsable, c'est le maire Yannick Morez et son équipe

 

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Un communiqué de Riposte laïque :

Yannick Morez a été reçu, deux mois après l'incendie de sa maison, par le Premier ministre Elisabeth Borne et la commission des lois du Sénat. Il a cité, de manière accusatoire, le nom de notre site, devant certains médias et les sénateurs. Cela nécessite donc une réponse, que nous délivrons à travers ce communiqué de presse. cliquez ici

Si on en croit le président de la République, le Premier ministre et l'ensemble des médias et du monde politique, le maire de Saint-Brevin incarnerait la démocratie et la République, qu'il faudrait protéger contre les violences d'extrême droite que subiraient les élus favorables à l'installation de clandestins dans leur ville. C'est une inversion accusatoire classique, car à Callac ou à Saint-Brevin, les seules violences commises l'ont été par des manifestants d'extrême gauche, qui ont agressé, en toute impunité, les forces de l'ordre et des manifestants hostiles au plan Horizon ou au Cada.

Le maire de Saint-Brevin incarne une conception de la politique qui est tout le contraire de la démocratie. Il n'a pas été élu pour installer un centre d'accueil de 110 demandeurs d'asile près d'une école et d'une forêt protégée. Il a refusé d'entendre l'association de Préservation de la Pierre Attelée, qui a demandé à des multiples reprises d'être reçu en mairie. Il a refusé d'organiser une consultation citoyenne sur cette question. Il a demandé au préfet d'interdire des distributions de tracts contestant le Cada dans sa commune. Il a fait pression sur le représentant de l'Etat pour qu'il interdise la manifestation, légalement déposée, des opposants au Cada, mais n'a pas eu un mot contre les celles, non-déclarées et violentes, de la gauche et de l'extrême gauche. Il a renvoyé, dans ses communiqués officiels, dos-à-dos les agresseurs gauchistes et les manifestants agressés.

Encore plus grave, il accuse, sans la moindre preuve - alors que la gendarmerie privilégie d'autres pistes - ce qu'il appelle l'extrême droite, en fait la mouvance patriotique, d'être responsable de l'incendie de sa maison, attisant la haine contre des militants et des organisations qui mènent un combat démocratique contre ce que Macron appelle la transition démographique dans nos campagnes, qui s'apparente à un grand remplacement, ou à un changement de peuple imposé.

Il faut rappeler que l'Association des Maires de France signalait que depuis 2020, 1293 maires avaient démissionné de leur mandat, souvent pour des causes de violences, d'agressions physiques et d'intimidations au moins aussi graves, si ce n'est parfois davantage, que les désagréments dénoncés par le maire de Saint-Brevin. Or, leur démission n'a pas dérangé l'Etat, qui méprise les maires, leur impose les décisions des préfets, et leur substitue les structures bureaucratiques des Communautés d'Agglomération.

Cette fois, pour instrumentaliser la question migratoire, le pouvoir utilise l'inadmissible incendie de la maison du maire de Saint-Brevin pour intimider les populations qui refusent l'installation de migrants dans leur commune, dans une grossière manipulation dont le point culminant sera une manifestation appelée par le maire de Nantes, Johanna Rolland - qui a transformé sa ville en coupe-gorge - le 24 mai prochain.

Les Français, hostiles comme à Callac à 80 % à toute immigration dans les campagnes, ne seront pas dupes, malgré la propagande politico-médiatique, à cette grossière manipulation, et comprendront que le seul responsable des violences de Saint-Brevin, c'est Yannick Morez, qui, se vante d'abandonner son mandat et de quitter la France, laissant l'équipe municipale, sa ville et la population dans le chaos qu'il a créé.

Riposte laïque cliquez ici

http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2023/05/18/saint-brevin-le-seul-responsable-c-est-le-maire-yannick-more-6443784.html

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