Au cœur des émeutes le 30 juin dernier à Angers, des membres du Rassemblement des Étudiants de Droite (RED) ont dû se défendre face à des attaques coordonnées. Ils ont été victimes de plusieurs assauts après que l’extrême gauche a diffusé l’adresse de leur local.
Alors qu’ils n’ont fait que se défendre, ces jeunes patriotes angevins ont immédiatement subi les mensonges médiatiques et les attaques judiciaires à leur encontre :
• La presse les a qualifiés de tous les noms, les accusant mensongèrement d’avoir tabassé gratuitement des passants.
• Pour s’être défendus contre leurs agresseurs, plusieurs militants du RED ont été placés en garde à vue.
• Enfin, leur local a été perquisitionné le lundi 3 juillet. 2 jours plus tard, il était fermé administrativement.
A l’heure qu’il est, plusieurs militants dont sont en garde à vue et passeront en comparution immédiate ce vendredi 7 juillet, sachant que selon nos informations, le refus (légal) de passer en comparution immédiate aurait pu entrainer une mise en détention provisoire (pour un maximum de 6 semaines).
Face à cette répression médiatico-judiciaire digne de méthodes soviétiques, l’ASLA a décidé de venir en aide aux militants du RED Angers et s’engage à prendre en charge une partie des frais liés à la destruction de la porte du local angevin par les émeutiers et l’extrême gauche.
« Alors que la France s’enfonce dans ce qui ressemble de plus en plus à une guerre civile larvée, il est capital que les jeunes patriotes ne se retrouvent pas piégés entre le marteau des hordes d’émeutiers et l’enclume de la répression étatique. Pour soutenir ces jeunes Angevins face à la persécution judiciaire et les aider à réparer leur lieu de rassemblement, faites un don à l’ASLA » indique l’association dans un communiqué.
La solidarité est en marche.
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