dimanche 2 février 2025

Les avocats touchent 5 300 euros par migrant défendu : merci Fabius !

 

Après avoir été un des animateurs du combat à Callac en Bretagne avec mes amis – notamment Pierre Cassen, Catherine Blein, Danielle Le Men – contre la venue de 537 Africains dans un bourg de 2200 habitants, j’ai écrit un livre (« Callac, la mère des batailles » – Synthèse Nationale) afin que les leçons du combat que nous avions mené ne soient pas perdues. Dans ce livre, il y avait un chapitre intitulé « Le business de l’immigration ». Il avait pour objet de dénoncer ce que nous avions commencé à voir, à savoir que des gens officiellement avec le cœur sur la main et voulant « accueillir des gens en grande précarité » (les migrants) étaient en fait des personnes qui agissaient pour des raisons bassement matérielles.

À commencer par la famille Cohen à l’origine du projet « Horizon » de Callac qui, si j’en crois des avocats spécialisés dans la finance, disaient que ce projet était concocté pour faire de la défiscalisation.

Il y avait aussi plusieurs autres associations, comme Viltaïs qu’on retrouve un peu partout en France, gérant sur la demande de l’État les immigrés envoyés dans les campagnes. Association ayant quelques soucis judiciaires suite à un audit de la cour régionale des comptes de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

Il y avait aussi Equalis dont le responsable va passer en jugement en juin 2025, pour avoir fait de « l’abus de biens sociaux » comme je l’ai exposé dans un article sur le site de Riposte Laïque.

Et puis Coallia, la plus grosse subvention… 148,37 millions d’€ en 2022. Coallia est une très grosse boutique avec 5.000 salariés, 760 établissements et services répartis dans 44 départements. Elle loge vingt mille personnes chaque jour dans ses structures d’urgence et vingt mille autres dans ses résidences sociales. Mais voyez-vous, elle aussi a de gros ennuis avec la justice. Suite à un rapport de la Cour des comptes, au minimum deux chefs d’entreprise viennent d’être mis en garde à vue. Et des poursuites judiciaires sont engagées. Pour des histoires de fausses facturations, de rétrocessions d’argent et autres abus de biens sociaux, réalisés à la demande d’un certain Gaye Camara, un directeur territorial de la fameuse association Coallia, nous apprend le site Boulevard Voltaire.

Et un certain nombre d’autres… On peut même dire un nombre certain.

À chaque fois, les mêmes problèmes sont constatés, une devanture « humanitaire » qui vous tirerait des larmes si on les écoutait vous raconter comment ils viennent en aide aux pauvres gens qui viennent de l’autre bout du monde et qui n’ont rien. Mais derrière le joli décor presque immanquablement des abus de biens sociaux et des responsables qui s’en mettent plein les poches. Et des dirigeants qui ont toujours des situations en or.

Comme par exemple France Terre d’Asile, où l’on retrouve à la présidence une certaine… Najat Valaud-Belkacem qui était ministre de l’Éducation nationale sous Hollande.

Il y a aussi Oxfam France, une association présente dans plus de 90 pays, et qui lutte contre la pauvreté. À sa tête on retrouve… Cécile Duflot qui était ministre du Logement sous François Hollande. Elle en devient la responsable en 2018. Date à laquelle la porte parole d’Oxfam France… une certaine Manon Aubry rejoint LFI de Mélenchon et sera désignée comme tête de liste La France insoumise aux élections européennes de 2019.

Quel panier de crabes… et surtout on sent confusément que tous ces gens sont uniquement animés par de grandes convictions humanitaires. D’ailleurs, la plupart du temps ils vous le disent la main sur le cœur.

Il se trouve que malheureusement, les associations qui « viennent en aide aux migrants » ou luttent contre la misère ne sont pas les seules à mordre le trait.

Il faut rappeler que nombreuses sont les associations qui vivent grassement de subventions données par une multitude d’élus, de villes, de départements, de régions et même par l’État et l’Europe. La plus connue de ces associations étant SOS-Méditerranée qui est ouvertement complice de la mafia des passeurs et fait en sorte que des dizaines de milliers de migrants traversent tranquillement la Méditerranée et débarquent sur nos côtes. Et il n’y a pas que cette association… loin s’en faut.

Au final, cela coûte une authentique fortune au pays.

Ainsi, rien que pour le ministère de l’Intérieur, les subventions distribuées arrivent au montant incroyable de 975 millions d’€ en 2023. Presque 1 milliard par an pour les subventions. Évidemment, depuis, ça n’a pas baissé.

Mais ce n’est pas tout. Il y a aussi la cohorte de tous ceux qui vivent grassement de cette immigration et qui ne souhaitent pas du tout que cela s’arrête. Au premier rang de ces gens, il y a les avocats.

Je ne réclame nullement l’arrêt de leurs actions, car c’est un droit fondamental de pouvoir être défendu et il est hors de question de remettre cela en cause.

Mais on me permettra de contester l’action des avocats qui trouvent moralement correct de tordre la notion de « droit d’asile » afin de faire du business sous ce prétexte avec une multitude de migrants. D’abord ils discréditent le droit d’asile qui est éminemment important et respectable, et d’autre part ils discréditent également leurs actions dont on voit parfaitement qu’elles sont menées juste pour une histoire de gros sous.

Mais il faut aussi connaitre le montant des sommes en jeu pour mesurer l’ampleur du problème.

Peut-être savez-vous que le 28 mai 2024, le Conseil constitutionnel a accordé l’aide juridictionnelle à tout migrant qui souhaite contester son OQTF ou un refus de titre de séjour.

On pourra déjà noter qu’un étranger bénéficie à cette occasion d’une aide judiciaire refusée à la quasi-totalité des Français (il ne faut pas gagner beaucoup pour en bénéficier).

Par contre, le montant que cela peut rapporter à un avocat pour chaque étranger est de… 5300€. Et comme c’est une aide juridictionnelle, cela veut dire que c’est payé avec vos impôts, sans même vous demander votre avis, ou plus exactement en sachant très bien que les Français n’accepteraient pas si on leur demandait leur avis.

Alors, imaginez ce que peut gagner un cabinet d’avocats qui s’engage massivement dans cette voie. C’est la fortune assurée.

Notons que cela ne fait ni chaud ni froid à ces gens de travailler à la destruction de notre pays. Et puis, ces avocats sont des hommes de bien et ceux qui s’indignent de leur entrain à mener toutes ces actions fort lucratives doivent au minimum être des êtres « sans cœur » et surtout des « fascistes ».

En tout cas, les avocats n’ont pas l’air d’apprécier que leur petit commerce soit étalé au grand jour.

Le site « Frontières » (qui est remarquable) a publié une série d’articles sur le sujet en dénonçant la face sombre de ce business se prétendant humanitaire. On peut lire :

« Le Conseil national des barreaux (CNB) a annoncé saisir le procureur de la république contre notre média frontières. » (…) « Quelques heures à peine après la sortie en kiosque de notre magazine, quelle ne fut pas notre surprise donc de voir la plus grande instance représentative des 78 000 avocats de France nous attaquer pour tenter via la saisine d’un procureur de nous faire taire. Derrière, ce sont des dizaines d’avocats, parfois par le biais de leurs barreaux locaux comme ceux de Bordeaux, Marseille, Nîmes ou encore Strasbourg, qui nous ont affublé d’extrême droite et ont exprimé, pour certains, leur volonté de défendre les clandestins, sans distinction. À leurs côtés, l’organe de presse Libération n’a pas manqué d’embrayer, comme toujours. » et de conclure « Évidemment, face au risque de multiplication de procédures par des avocats qui s’organisent pour nous faire couler, nous ne céderons rien : au contraire. Nous avons mis le pied dans la fourmilière et vous savez quoi ? Nous allons redoubler de plus belle ! Car c’est cela le droit d’informer et si nous ne le faisons pas, qui le fera ? ».

Il me semble fondé de m’associer à cette alerte sur la dérive que nous pouvons constater au sein de la profession des avocats, d’abord au motif de ce qui précède, mais aussi en rappelant ce qu’a osé voter la conférence des bâtonniers le 5 juillet 2024 : un communiqué au sein duquel on peut lire :

« Ainsi, toute loi allant à l’encontre des Droits de l’Homme et du Citoyen doit être combattue, et le fait qu’une majorité de français soutienne ces lois n’a aucune importance : dans le combat pour la sauvegarde de la Liberté, les voix des citoyens n’ont aucune importance.

Je vous rappelle par exemple la décision d’abolition de la peine de mort alors que la majorité de l’opinion publique y était, et y est encore, opposée. Les citoyens sont souvent incapables de prendre conscience de la gravité du sujet et les avocats sont justement là pour, passant outre la volonté erronée du Peuple, faire adopter les mesures que la Morale impose.

Dans l’affaire actuelle une majorité de citoyens votant pour des candidats du Rassemblement National mettrait en danger la vocation de terre d’accueil et de Pays des Droits de l’Homme de la France. Il est du devoir des avocats et de l’ensemble du Corps judiciaire de ne pas tenir compte de l’opinion de ces citoyens dans l’erreur et d’agir pour tenir la barre d’une main ferme.

La Conférence des Bâtonniers affirme avec la plus grande fermeté que l’ensemble du corps des avocats se positionnera contre toute mesure prise par un éventuel gouvernement du Rassemblement National, l’avis des citoyens français devant être ignoré, et sera ignoré, pour la défense des Valeurs de la France. Nous avocats sommes les Garants de la Défense des Libertés et n’avons ni à nous justifier ni à répondre aux désidératas de simples citoyens représentant un danger pour la démocratie. »

Ce communiqué est d’un incroyable mépris pour le peuple qui n’est à l’évidence, pour ces gens, qu’une simple populace ne méritant aucun respect.

De plus en plus, ceux qui s’estiment être les élites et détenir le savoir, méprisent ouvertement l’opinion du peuple et se pensent autorisés à faire le contraire de ce que veut la population, comme cela se constate sondage après sondage.

Le peuple serait trop bête pour comprendre et décider de ce qui serait bon pour le pays. Il ne faut donc pas lui donner la parole et en conséquence, il convient de décider pour lui. C’est indiscutablement pour cela qu’aucun référendum n’est organisé sur l’immigration.

Mais tout cela est fort dangereux, car lorsqu’on s’assoit sur le couvercle d’une marmite et que le feu en dessous brûle en grand, dans la marmite la pression monte et à un moment donné, le couvercle explose.

Un peu plus tôt ou un peu plus tard cette affaire va se terminer très mal et les élites ne pourront s’en prendre qu’à elles-mêmes.

Bernard GERMAIN

https://ripostelaique.com/les-avocats-touchent-5300-euros-par-migrant-defendu-merci-fabius.html

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire