Mercredi 19
décembre 2012. À l’occasion de sa visite officielle à Alger, François
Hollande s’apprête à faire acte de contrition au nom de la guerre
d’Algérie. Le Président de la république française va céder une fois de
plus aux sirènes de la nouvelle idéologie dominante : la repentance
altermondialiste.
Récemment, des membres du gouvernement algérien ont exigé de la
France la reconnaissance de crimes coloniaux et des réparations
financières sonnantes et trébuchantes. Immédiatement, une multitude
d’associations françaises lui ont emboité le pas, réclamant que
l’ancienne puissance coloniale paie des réparations envers le peuple
algérien. Ces groupes de pression sèment une fois de plus un sentiment
de haine et de suspicion entre tous les Français, creusant encore plus
le fossé qui les sépare.
Rien ne justifie, et surtout pas le droit international, que les Français aient, cinquante ans après, à endosser collectivement la marque des malheurs et des sévices de l’histoire. « Le mal n’est pas une maladie collectivement transmissible et le passé n’est pas une fatalité. », a écrit justement l’historien Jean-Pierre Rioux. Depuis une dizaine d’années, les lois mémorielles ont incité des groupes communautaires à se définir comme des victimes de crime contre l’humanité dont ils aiment se présenter comme des descendants directs. On voit là l’usage anachronique et dangereux de notions récentes, qui ont servi à juger les responsables nazis devant le tribunal international de Nuremberg. Si on continue ainsi, César et Charlemagne seront bientôt traduits devant la Cour pénale internationale de la Haye pour crimes contre l’Humanité…
La suite sur Boulevard Voltaire
http://www.actionfrancaise.net
Rien ne justifie, et surtout pas le droit international, que les Français aient, cinquante ans après, à endosser collectivement la marque des malheurs et des sévices de l’histoire. « Le mal n’est pas une maladie collectivement transmissible et le passé n’est pas une fatalité. », a écrit justement l’historien Jean-Pierre Rioux. Depuis une dizaine d’années, les lois mémorielles ont incité des groupes communautaires à se définir comme des victimes de crime contre l’humanité dont ils aiment se présenter comme des descendants directs. On voit là l’usage anachronique et dangereux de notions récentes, qui ont servi à juger les responsables nazis devant le tribunal international de Nuremberg. Si on continue ainsi, César et Charlemagne seront bientôt traduits devant la Cour pénale internationale de la Haye pour crimes contre l’Humanité…
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