Le masque est en train de tomber : les chiffres publiés par Le
Figaro confirment que le ministre de l’Intérieur n’est là que pour jouer
un rôle. On parle ferme pendant que l’immigration clandestine — sans
compter la « légale » — explose.
Si on était conspirationniste, on pourrait croire que tout est voulu,
qu’il faut que l’invasion commencée il y a 40 ans se poursuive jusqu’à
la submersion totale de la population indigène.
Dans les faits, rien n’a changé depuis Mitterrand : le socialisme
continue d’ouvrir les vannes. (…) Le cercle vicieux tourne de plus en
plus vite, et l’immigration clandestine, de moins en moins contrôlée, va
finir par se mêler au fleuve de l’immigration familiale.
En analysant la politique migratoire sur le long
terme, il paraît évident que le PS et ses alliés préparent le peuple
français à l’irréversible.
Un jour, ce sera le droit de vote pour les étrangers, un autre le quasi-abandon des expulsions, pour arriver mathématiquement à l’objectif final : la mise en minorité ethnique des Français de souche européenne. Nous sommes en route vers l’inconnu.
Un jour, ce sera le droit de vote pour les étrangers, un autre le quasi-abandon des expulsions, pour arriver mathématiquement à l’objectif final : la mise en minorité ethnique des Français de souche européenne. Nous sommes en route vers l’inconnu.
———— ci-dessous article publié le 10 mai 2013
Le discours
martial du ministre de l’Intérieur sur le dossier des Roms et de
l’immigration illégale en général est pris à contre-pied par ses propres
statistiques.
Quid de la lutte contre les illégaux ?
Les chiffres cachés sont édifiants. Dans l’agglomération parisienne, en
un an, les «constats d’infraction aux conditions générales d’entrée et
de séjour des étrangers» ont diminué de plus de 61 %. Depuis janvier, la
baisse est de plus de 87 %. Et même de 93 % en avril (113 clandestins
contrôlés contre 1640 le même mois de l’année précédente). [...]
Jusqu’alors, la Place Beauvau expliquait
que la baisse d’activité de la police des étrangers était la
conséquence d’une décision de la Cour de cassation qui, à l’été 2012,
avait transposé la jurisprudence européenne interdisant toute garde à
vue d’un étranger au seul motif qu’il serait en situation illégale sur
le territoire.
Mais voilà : depuis le 1er janvier, la
police dispose d’un droit de rétention de 16 heures pour contourner cet
obstacle. «Ce n’est pas un problème d’outil juridique, mais bel et bien
de volonté politique», estime, le député UMP des Alpes-Maritimes Éric
Ciotti. [...]
Manuel Valls annonçait, en début
d’année, 37.000 éloignements de clandestins en un an. Mais c’était en
incluant cinq mois d’action du précédent gouvernement. [...]
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