Où est la liberté de la Presse proclamée en 1789 ? Pourquoi convoquer le
journaliste Ivan Roufiol du Figaro qui n'a fait que son travail ? (voir
l’article du Gaulois « Pourquoi je suis convoqué à la PJ, par Ivan Rioufol »)
« Mais
où sont les bonnes consciences, les belles âmes, toujours prêtes à
faire la morale et qui ne disent mot quand un journaliste courageux ose
analyser les dangers d'un islam radical et qui se retrouve convoqué par
la police pour répondre de propos tenus lors d'une émission télé sur le
sujet ? » s'inquiète très justement J.P. Garraud, secrétaire de l'UMP et ancien député de Gironde.
Ivan
Roufiol n'a fait que son devoir de Français et de journaliste libre de
dénoncer ce fléau que représente l'Islam radical en France. Pour
mémoire, une déclaration de Marwan Muhammad, porte-parole du CCIF, à la mosquée d'Orly, il y a quelques mois : « Qui
a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera
pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n'a le
droit de nous enlever ça, personne n'a le droit de nous nier cet
espoir-là. De nous nier le droit d'espérer dans une société globale
fidèle à l'Islam. Personne n'a le droit dans ce pays de définir pour
nous ce qu'est l'identité française ».
On croit rêver bien sûr… et non, ce monsieur est très sérieux et c'est ce qui pose problème.
Alors,
que faire contre cette horde de sauvages qui détruisent la France sans
que personne ne réagisse ? Avec la complaisance du gouvernement
socialiste et la complicité active de l'extrême gauche.
Cette mort lente infligée à la chrétienté et à notre pays, le Père Marie-Antoine de Lavaur surnommé le « Saint de Toulouse » la dénonçait déjà il y a plus de cent ans : « Au
radicalisme maçonnique nous égorgeant, nous étouffant sans bruit, il
faut opposer le radicalisme divin, en nous défendant et en combattant
avec éclat. À ce prix seul sera la victoire. Les martyrs ont-ils craint
d'être intransigeants ? Et, sans cette intransigeance, l'Église
aurait-elle remporté une seule victoire ? ».
Quel
visionnaire et quelle lucidité attribué à ce capucin, et quelle liberté
dans la vérité… Ivan Roufiol, vous avez toute mon estime.
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