vendredi 14 juin 2013

Le changement c'est désespérant

Il y aurait tant à dire, tant à changer, tant à réprimer et tant à pleurer. Ces hommes et ces femmes voulant changer l’ordre du monde avant même de connaitre l’utilité de l’ornement vestimentaire, plaidant pour la liberté et enfermant ceux qui la prenne, réduisant la famille à un attachement sexuel, aux slogans indécents plaidant pour une égalité pas assez naturelle ; feront-ils l’avenir de notre pays ?
Cette fièvre qui s’étale de part le monde – ne laissant aux populations que le maigre droit de se rassembler contre une morale injustement fondée – a eu raison d’un homme bon et trop humble pour se sentir capable d’accomplir une tâche rendue de plus en plus difficile. Quel sera le résultat de tant de réformes, de tant de questionnement, de cette volonté de passer de l’état de créature à celui de créateur ?
Je suis née le 8 aout 1994, d’un père et d’une mère dont l’amour toujours aussi fervent continue de m’éduquer. Direz-vous que ma vie n’est qu’un exemple parmi tant d’autre ? Direz-vous que les normes ont changé ? Direz-vous que Vous avez le droit de les changer ?
Il y a bien longtemps que la vie n’a – aux yeux des politiques – pas plus de valeur qu’un investissement économique ! Nous perdons notre humanité au profit de plus de normalité. Nous perdons notre liberté au profit de plus d’égalité. Vous qui parlez de liberté d’expression, vous démocrates, vous présidents, toi peuple mouton n’ayant pour toute envie que celle de plaire ; vos yeux, vos oreilles saignent à la moindre vérité, à la moindre expression de bon sens, à la moindre opposition.
De mes parents je retiens l’Amour et non la luxure, le courage face à l’obstacle et non la couardise du divorce, le sentiment de certitude quand à ce que je suis et non la remise en cause de ma propre personne, mais le plus important : le lien filial, plus fort que tout ce qui peut être ressenti. Papa, Maman merci pour la vie. De ma mère je retiens l’agissement d’une femme forte à qui je veux ressembler, la tendresse et la patience. De mon père je retiens l’éducation et la sévérité aimante, la persévérance et le soutien. [...]
Claire, étudiante en Sciences Politiques - La suite sur Le Printemps Français
http://www.actionfrancaise.net/

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