Au moment où j’écris ces lignes, Donald Trump a déjà bénéficié du vote de 266 grands électeurs et il en faut 270 pour être élu président des États-Unis. Autant dire que le match est plié. L’artificielle Kamala Harris a donc été battue à plate couture, avec ses tailleurs de grands couturiers et son mépris californien. Le peuple américain a décidé de reprendre son destin en main, et la tâche qui attend le 47e Président des États-Unis est immense. Et ce, malgré la campagne ahurissante de dénigrement de tout le système.
En attendant, sa victoire renverse totalement les pronostics de sa défaite, avancés par les progressistes malfaisants du monde entier. Pire, il détruit leurs certitudes quant à ce candidat hors norme, un titan de la politique.
Parmi les certitudes les plus stupides, celle du racisme de Trump, que seuls les Blancs plébisciteraient. Sauf qu’avec le seul vote blanc, Donald Trump n’aurait jamais remporté autant d’États. Ce qui cloue le bec aux propagandistes de gauche d’ici et là-bas prétendant que Trump, parce qu’il veut légitimement lutter contre l’immigration sauvage et violente, serait raciste.
Il y aura évidemment la politique intérieure de Trump, ce qui ne plaira pas à tout le monde car Trump fait vœu de protectionnisme pour son pays. Mais si la France était protectionniste, nous n’en serions peut-être pas là, pillés que nous sommes sans aucun retour. Je pense notamment aux accords du Mercosur, qui vont ruiner nos éleveurs et agriculteurs par l’afflux massif de denrées venues d’Amérique du Sud, que nous produisons par ailleurs. Trump veut privilégier les produits américains parce qu’il est le Président des Américains, ce qui se comprend.
Il y aura aussi la politique internationale, avec cette promesse : « Je vais arrêter les guerres ». Espérons qu’il puisse aller jusqu’au bout de ce vœu en mettant d’abord fin à la guerre inutile en Ukraine. Une guerre alimentée à grands renforts de milliards par son prédécesseur incapable de tenir un discours cohérent et pouvant à l’occasion confondre Vladimir Poutine avec Zelensky. C’est d’ailleurs sans doute en grande partie à cause de la supercherie Biden que Trump a été élu, car le peuple américain voyait bien qu’il n’était pas dirigé par ce personnage grabataire, mené tel un pantin par des décideurs de l’ombre.
« Une promesse faite sera une promesse tenue », a encore affirmé Trump. Pourvu que le nouveau Président américain ne se prenne pas trop de bâtons dans les roues et parvienne à mener une politique qui serve les États-Unis, certes, mais surtout ne nuise pas au monde.
Alors bon vent, monsieur le Président, bon courage et au travail pour que, grâce à vous, le monde change un peu.
« After all, tomorrow is another day » (Après tout, demain est un autre jour), disait Scarlett O’Hara…
Charles Demassieux
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