Le juge Grégory Weill, une vieille connaissance de Riposte Laïque et de Résistance républicaine…
La France a donc quatre ministres d’État : Bruno Retailleau, plus que jamais incontestable à l’Intérieur, Élisabeth Borne, réélue députée grâce aux Insoumis, qui sévira à l’Éducation nationale, Manuel Valls, qui est la risée de ce nouveau gouvernement, qu’ils ont collé aux Territoires d’Outre-mer, et enfin Gérald Darmanin, qui, malgré, ou à cause de ses mensonges d’État, a été bombardé garde des Sceaux.
Bien sûr, les gauchistes du Syndicat de la Magistrature, rendus célèbres par leur Mur des Cons, qui ne leur a valu aucune sanction, alors que la dissolution s’imposait, ont hurlé à la provocation. Mais cela fait partie du folklore, les juges savent pertinemment que Darmanin, qui a passé son temps à dissoudre les associations patriotes dont ils condamnent sans vergogne les dirigeants, n’est pas là, à l’image d’un Thibault Montbrial, un temps pressenti par Barnier, pour remettre de l’ordre dans une institution gangrenée par les juges de gauche, mais pour mettre encore davantage la justice au service de la lutte contre les dissidents, bien plus importante à leurs yeux que celle contre les gauchistes et les islamistes.
Avec Darmanin, les commissaires politiques de Macron ont compris qu’ils avaient carte blanche pour traquer du dissident, comme cela était le cas avec Dupond-Moretti. Moussa a donné suffisamment de gages aux mondialistes, pour que sa nomination ne soit comprise comme un encouragement pour les magistrats du Parquet, section AC2, la vraie police politique de Macron et du système.
Il y a quelques jours, notre fondateur Pierre Cassen nous expliquait la réalité de son calendrier judiciaire, du 11 au 20 décembre. Une audition chez les gendarmes le 11 décembre, un passage au tribunal de police le 13 décembre, et un prochain interrogatoire par un juge d’instruction, le 18 décembre, et une dernière audition le 20 ! Certains diront que le passage au tribunal de police pour une affaire d’automobiliste demeure une affaire privée, mais d’autres y verront, au contraire, la conséquence d’une véritable machine de guerre menée par l’État contre les automobilistes français, accusés de tous les maux, révélatrice d’une caste qui combat férocement son propre peuple tous les jours.
Dans cette autre vidéo, notre avocat, maître Pichon, par ailleurs également avocat de Frontières, expliquait les manœuvres de certains magistrats politisés et idéologues pour s’attaquer aux adversaires politiques du pouvoir, en l’occurrence le média dirigé par Erik Tegner. Il aurait pu également évoquer l’acharnement mis par le Parquet, les associations dites antiracistes et d’autre plaignants contre Riposte Laïque et son président Guy Sebag, Résistance républicaine et sa présidente Christine Tasin, Jean Messiha, Nicolas Bay, des jeunes identitaires et nombre d’autres patriotes qu’il défend avec talent, face à ce qui s’apparente parfois à une véritable inquisition.
Mais les attaques contre les méthodes de certains magistrats politisés ne s’arrêtent pas là. Dans ce long message, l’avocat gauchiste Juan Branco – dont nous ne partageons pas, loin s’en faut, certains engagements, certaines pratiques ni certains propos tenus ci-dessous, notamment sur Mila et l’extrême droite juive – expliquait sur un tweet la réalité du Parquet de Paris, et de sa section spéciale AC2, qui paraît une machine de guerre mise en place par le couple Macron, s’appuyant sur le type de magistrats que décrit Maître Pichon, pour briser par tous les moyens les opposants voire les dissidents qui osent résister au régime. Voici son long texte.
Curieusement, Juan Branco fait plutôt allusion aux personnes de gauche persécutées, et n’a pas un mot pour les militants patriotes, qui subissent avec une autre intensité les attaques du parquet et les nombreuses plaintes déposées contre des dissidents accusés de trop aimer la France et la liberté d’expression. Mais ce qui est intéressant, c’est que Juan Branco donne des noms, dont celui, inconnu du grand public, d’Aline Olié, qui paraît n’avoir aucune légitimité pour occuper un tel poste, si ce n’est sa proximité avec le pouvoir en place.
Le même Grégory Weill avait même poursuivi Christine Tasin pour la publication du livre « Les assassins obéissent au Coran », qui avait été distribué autour de la maison de Sarah Halimi par un lecteur qui avait acheté des dizaines d’ouvrages, pour que les voisins comprennent mieux les raisons de l’assassinat de Madame Halimi par un musulman qu’on a présenté, bien sûr, comme déséquilibré.
Alors, puisque la justice de ce pays est rendue au nom du peuple français par des magistrats payés par nos impôts, n’est-il pas légitime que les Français connaissent mieux des juges comme Aline Olier et Grégory Weill, qui ont longtemps dirigé de concert la section AC2, rubrique presse et défense des libertés publiques (sic !), que d’aucuns décrivent comme le bras armé d’une justice politisée au service de Macron, contre ses opposants. Aujourd’hui, Grégory Weill aurait été nommé par l’Élysée à la tête d’une autre structure, appelée P20.
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