Vous avez du entendre parler de la dernière étude sur le niveau scolaire des jeunes français. (Source ici).
Nous sommes désormais les derniers en … Europe !
Il faut dire que l’éducation nationale préfère enseigner à mes enfants le tri des poubelles (propagande) et le cycle de l’eau tous les ans (propagande) ou encore l’enfilage de capotes, le concept de fellation (rien à voir avec les cours d’économie de Rachida Dati), ou même les différentes manières de se masturber, oui, oui, je vous assure, mon fils en 6ème à l’âge de 11 ans a eu droit à ces outrances d’une immense violence en réalité car ne tenant pas compte de son niveau de maturité sur ce genre de sujets.
Alors deux plus deux, c’est compliqué.
C’est encore plus compliqué d’ailleurs pour nos ministres qui ne savent plus compter depuis 50 ans, après 50 ans de budgets déficitaires les bases en calcul se sont émoussées.
“Les résultats TIMSS, classement mesurant le niveau des élèves en mathématiques et en sciences tous les quatre ans, sont tombés. Et le bonnet d’âne est attribué pour la France en mathématiques avec une dernière place en Europe. L’explication tient dans la méthode, une catastrophe selon les parents
La France est désormais avant-dernière dans le classement international TIMSS , mesurant le niveau des élèves en mathématiques et en sciences tous les quatre ans. Comment l’expliquer ? Pour les parents, c’est la méthode d’enseignement qui est à revoir comme Anne-Lise qui est surprise par les devoirs de maths de sa fille de huit ans en CE2. Très répétitif.
“Aujourd’hui, elle révise encore la table de un, deux et dix alors que l’année dernière, elle avait vu les tables de multiplications de 1 à 6. En fait, il y a énormément de révisions par rapport à des notions déjà vu en CE1”, livre-t-elle. Et la petite a du mal avec le calcul mental. “C’est toujours posé sur un cahier, une feuille avec trois-quatre chiffres avec le système de retenue. Je ne suis pas si âgée que ça, mais c’est vrai que j’ai eu régulièrement, au niveau de ma scolarité, des contrôles sur le calcul mental. Ma fille n’en a jamais eu depuis le début”, explique cette mère de famille.”
Ou encore…
“Cela pose ensuite des difficultés pour représenter les mathématiques de façon abstraite. Lisa est mère d’une élève de 13 ans en quatrième. “Cette année, ma fille est passée de quatorze de moyenne à huit. Je pense qu’il y a une confusion totale qui fait que les enfants ne savent plus poser un problème ou comprendre une question, que ce soit en maths ou pour d’autres matières”, témoigne-t-elle au micro d’Europe 1. Le ministère le reconnaît, la pédagogie a besoin d’être plus concrète très tôt en primaire pour rapidement résoudre des problèmes complexes. C’est l’objectif du futur programme de mathématiques.”
Nous sommes nuls parce que nous VOULONS que nos enfants soient nuls !
C’est cela le droit à la paresse d’enseignants comme Sandrine Rousseau qui est prof je le rappelle.
C’est cela des décennies de démagogie où l’on veut faire croire que l’on peut être bon sans travailler.
Que pour avoir des sous, il suffit de “taxer” les riches et de “répartir la richesse des autres”.
Tout ceci est une vaste fumisterie.
Tout ceci est un immense mensonge.
Il n’y a aucune égalité possible sans travail, sans dépassement, sans effort. Aucune réussite non plus.
Aucune ambition non plus.
Il n’y a rien sans travail, sans effort et sans courage.
Nous faisons des générations de tous mous à qui l’on ne peut rien dire et qui sont émotionnellement instables.
Il est encore temps de se ressaisir… mais il n’en reste plus beaucoup.
Charles SANNAT
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